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Journal de bord

Puerto nuevo

11/01/2017
"Chantier solidaire"


  Les valises bouclés la veille, cest dès 7 heures ce matin qu'ils prennent la route en voiture avec le chauffeur de l'évêque, pour arriver en milieu de mâtiné à "Puerto Nuevo". Tout petit village proche de la mer, mais eux c'est côté jungle qu'ils s'enfonce. Ils arrivent dans la vrai pampa, perdu au milieu de la jungle ce trouve une ancienne école. La "Bolivar", l'homme qui occupe les lieux, accueille la joyeuse troupe CIA. A peine arriver que Max se fait embarqué pour faire quelques courses avec Bolivar. Tandis que les autres découvre ce lieux magique, tout près d'une belle rivière où la nature est maître, c'est alors qu'une dame du prénom"Merci", et sont enfant viennent à leur rencontre. Elle vient préparer à manger dans l'ancienne école devenu cantine pour les volontaires. C'est alors que Margot aussitôt prend les devant et l'aide à aux tâches s'en un mots, compréhension du sourire..
  Une fois Max rentré, ils rejoignent tous la route la plus proche à pied, pour la bas rencontré toute une équipe travaillant dan le même bût, ma solidarité !! Ici un chantier vient tout juste de ce mettre en place, tous des volontaires ils ont décidé de monté un collectif et qui à terme représentera un hameau, avec autour des jardins et culture de cacao, pour être indépendant. Les matériaux sont financés par l'église, car depuis les séismes, l'État d'Équateur a bien reçu et distribué de l'argents, mais malheureusement elle n'arrive pas jusqu'aux petites gens dans le véritable besoin..
  Une fois les présentations faite, un camion arrive chargé de parpaings, tous alors ce motives ensemble et le décharge au plus vite. Puis dans la foulé après un rapide soupé sous une chaleur étouffante, Reno, Margot et Max partent avec le chauffeur à "Chamanga", à 1 heure de route, pour recharger le camion, tandis que Cécé reste l'après-midi en compagnie des volontaires. A Chamanga, c'est le chao, la ville en bord de mer a été ravager complètement et a du mal à refaire surface dû à la violence des séismes et la pauvreté qui raigne. Mais dans le paysage macabre ont peut voir ici et ailleurs, quelques nouvelles et belles habitations qui surgit.. Ici ce trouve aussi un dépôt de parpaings et d'autres ouvriers volontaires les attendent pour créer une chaîne de solidarité portant parpaings par parpaings.. Puis après 2 heures de dur et long chargement, ils retournent sur le chantier de Puerto nuevo, où il rencontre "Fernando", le coordinateur des chantiers solidaires.
  Fernando explique à CIA (qui c'est dû coup re-complété), les cheminst aboutissant de ce projet. Fin de journée sonne alors, c'est avec joie que CIA saute dans la rivière, dans un décors de jungle, pour un décrassage complet. La rivière d'un faible courant, juste adapté à la nage, les plongent dans l'univers de Tarzan, où la nature sauvage comble les rebord et où flotte quelques fruits ou autres branches ce laissant bordé par le dérivé de l'eau.. C'est ensuite qu'ils découvres une vielle bâtisse qui servait de classe pour l'école, qu'ont aménagé durant l'après-midi, quelques membres de ma communauté, lits, matelas et moustiquaires (s'il vous plaît !!), les voilà donc au petit soins..
  Petit repas avec Bolivar à la lueur de la bougie, raiyonnant les visages d'un orange nuité, c'est ensuite qu'ils ce glisses dans leurs lits de princesses coloré de rose, bleu et vert (couleurs des moustiquaires).. Là les bruits de la pleine jungle s'ébruite, et c'est un doux orchestre de grillons, grenouilles, sifflement parfois léger d'autres fois criant, bruit volant à rampant.... bref tout y est, mais ce bonheur pour les oreilles n'est que peut descriptible à l'écrit.. L'instant est AILLEURS et c'est avec légèreté qu'ils s'enfuits dans leurs rêves d'ICI..

 

 

 

12/01/2017
"Chargement-déchargement"


  Levé à l'aube par les rayons du soleil, perçants les moindres entrés de lumière du bâtiment, CIA ce lève d'un pied ferme, près à encaissé une journée de dur travail. Rejoint au petit déjeuner par une dizaine de membres de la communauté, ils partent aussitôt sur le chantier déchargé le camion plein de parpaings qui avait été chargé tard la veille au soir..
  Petit à petit le travail grandit. Certains travail dur, d'autre loin, ici chacun travail à son rihtme, le principal est l'entraide..CIA eux sont à fond tout le temps, ils savent qu'ils ne sont pas là dans la durée et donne leurs maximum afin de soulager ceux qui resterons, et aussi montré qu'ils sont près à enduré du travail de bagnards, pour avancé dans une belle harmonie. Plein de bonne volontés, ils sont les premiers à monté dans camion une fois vide, pour retourner le charger à Chamanga.. Cette fois-ci toute l'équipe est au complet, plus question de séparer une équipe qui avance et travail si bien ensemble..
  L'endoit d'approvisionnement se fait près d'une école reconstruite en bambous et bâches, où sont accueillit les enfants, parfois curieux de voir des "blancs", ici même au milieu de leur ville détruite, ont souvent le regard insistant, s'interrogeant sur notre venue dans ces lieux. Il est vrai que CIA n'a pas vu d'autre Européen depuis leur arriver dans cette région.. Le chargement, plus dur, plus long et sous une chaleur pesante, calme tout le monde, mais pas question de s'affaiblir, et c'est d'autant plus remonter qu'ils enchaîne le travail à force des bras et oublie le moment présent.. Camion plein, équipe satisfaite, c'est l'heure de la soupe pour tout le monde.
  Puis l'heure du trajet retour, moment d'admiration des beautés naturelles qui amène à la sieste rapide, avant d'arriver à bon port et d'y remettent un bon coup au déchargement, où attendaient une autre équipe fraîche de mouvements.. CIA commence à cerner les différents personnages que forment cette grande communauté, des bosseurs muets, au travailleur planqué, des anciens qui donnent tout ceux qu'ils peuvent, au malade imaginaire, sans oublier les enfants qui sont sur tous les postes apportants leurs grandes participations. Tous unis, humain, débordant de gentillesse..
  Plongeons dans la rivière pour zapé cette rude journée où la pluie à été parfois de trop durant la journée.. Puis direction le village à trois quart d'heure de marche, histoire de se boire une bière bien fraîche, avant de rentré dîner et finir dans leur "squat d'école", pour entamé leurs nuit de bruits étrange, grignotant le moindre silence de la nuit..

 

 

 

13/01/2017
"Coup de chaud"


  La routine viens vite quand le travail n'est pas agréable. Plus rien n'a leur redire, maintenant CIA prend les devantsvants.. Le petit jour les réveils, ils avalent en vitesse leurs petits déj, et hop au boulot les jeunes volontaires. Le camion qui avait été décharger hier n'a pas bouger, seulement il a plu toute la nuit, et donc est embourbé.. La journée commence par aidé le 32 tonnes à sortir de la, mais au nombres de la commuté importante, il ressort facilement et en n'un rien de temps.. 3 à l'avant près du chauffeur, le reste de l'équipe monté à l'arrière dans la caisse, et c'est partit pour une heure de route, à revoir les même paysages défilé, remarquant toujours de nouvelles choses dans cette immense savane..
  Arriver là-bas, ni une ni deux, c'est partie pour deux heures du lourd chargement à la chaîne,portant pas loin de 2000 parpaings un à un.. Ce matin il fait déjà chaud malgré les nuages qui cache le soleil. C'est une période de l'année, où la météo ressemble à un été breton, où il fait beau plusieurs fois par jour, avec 20° supérieur.. Durant leur pause du midi, un peloton électorale (car les élections présidentielle approche ici également), passe près d'eux, s'arrêtant même devant eux, leur chanter leurs airs joyeux rien que pour eux 4, puis "Christian Prado" (candidat à la présidentielle) leur serre même la main.. Moment de fous rires, CIA ignore complètement qui peut être ce personnage !!
  L'après-midi, le second chargement ce fait avec une équipe beaucoup plus dinamique. Margot et Cécé, partis toutes les deux avec Fernando, faire le tour voir la face vraiment critique de la ville. Tandis que Reno et Max, s'acharnent sur les parpaings, ne les transportant plus 2 par 2, mais 4 par 4, à une vitesse folle dans une ambiance musical décontractante, ils remplissent le camion avec leur solide équipe, en une heure seulement alors que me soleil cogne douloureusement cet après-midi.. Ici quand le soleil brille plus d'une demi-heure c'est dangereux, et les 4 petits blancs ont n'en fait mes frais. Malgré qu'ils restent bien couvert, leurs corps à brûlé, les bras surtout sont rouge et brûlant. Jusque là, ils avait pris des coups de soleil, puis bronzé, repris des coups de soleil...etc… mais aujourd'hui ils ont appris la véritable expression "J'ai cramé au soleil !!"
  De retour à Puerto Nuevo, les filles ayant pas encore travaillé cet aprème, décharge le camion avec une grande équipe, trop nombreux pour que les gars reste. Alors ils profitent de soleil toujours d'attaque pour aller ce baigné dans la rivière, mes filles les rejoignant peut de temps après.. Les corps chaud bouillant, les calmes et la soirée ne s'allonge pas bien longtemps.

 

 


14/01/2017
"La maison des bénévoles"


  Aujourd'hui changement de programme, CIA a remarquer depuis qu'ils sont arriver que Bolivar (chez qui ils vivent), ne les accompagne pas la journée pour les trajets de parpaings, mais reste construire une maison en bois. Donc hier, ils se sont d'accord avec lui et ont décidé de resté ici avec lui pour l'aider. Cet maison que Bolivar construit lui même de A à Z (découpe des arbres, fabriqué en baston à l'aide d'une tronçonneuse, marteau, clous et c'est parti...), est une futur maison pour les prochain bénévoles qui viendrons proposer leurs soutient.
  Ce matin donc Max et Reno travail sur la fabrication de la charpente bois, tandis que Cécé et Margot, ramasse les pois dans le jardin. Les gars apprennent à prendre meus places sur ce nouveau chantier, avec Bolivar et un autre collègue de la communauté. Une fois tous mes pois ramasser du côté des filles, c'est l'heure de l'épluchage et triage avec quelques femme de la communauté qui sont leurs vienàent participé à cette tâche, en milieu de mâtiné, alors que le soleil cogne déjà rudement fort.. Alors que les mecs souffrent déjà de la chaleur perché sur les poutres à joué les funambules constructeurs à plusieurs mètres de hauts, les nanas ont organisés un ateliers construction de bracelets, pour petits et grands..
  Pause déjeuner, où le même repas (matin, midi, soir....), reviens un peut trop souvent à leurs goût (bananes cuite, poissons, riz), et c'est une distribution de vêtements pour bébé et autres joués pour tous qu'ils proposes au dessert, aux familles les plus démunies, sélectionné par Fernando. Moment de grands sourires et de satisfaction pour les familles comme pour CIA, une quaizennes de gamins sont là, jouant au milieu des mamans comblées.
  Suite au matin qui sont toujours les même, humide à 200℅, c'est la sécheresse qui s'installe cet après-midi. Une chaleur si forte, car le soleil est actif en direct, que Reno et Max s'étouffe à petit feux, et ne deviennent casiment plus productif.. Margot et Cécé de leurs côtés apportent du bois découpé fraîchement dans la savane.
  Milieu de journée, les rayons du soleil brilles encore douleureusement. Mais sans relâche, ils continue à bossé malgré cette chaleur monstrueuse.. Puis sans plus attendre, la rivière très base aujourd'hui, les attirent comme les moustiques du soir sur une peau.. Après nage, relaxation et décrassage, un membre de la communauté emmènent les garçons au village, pour remplir les munitions et ainsi fêté le week-end..
  A leurs retour, Bolivar et deux de ces amis, essayent désespérément de remettre l'électricité de la maison, en essayant de connecté les fils d'un poteau électrique, avec une branche de bambou.. Tentatives à répétitions, menant à l'échec, mais cela ne perturbe pas la soirée qui est sous le signe de la fête et de la rencontre, puisque CIA festoyant avec Bolivar apprend beaucoup sur lui, ça personnalité, son passé et ça vie d'aujourd'hui; une nuit d'écoute, de partages et de rires, qui entrainent CIA plus remonté que jamais à avancer dans leur mission !!

 

 

 

15/01/2017
"Dimanche plage"


  Ces derniers jours ont été dur à encaissé du faite des énormes températures élevés. Pour recharger les piles, CIA s'offrent le luxe d'un journée plage, à "Mompiché" situé à 15 kms de chez Bolivar (qui est un petit peut chez eux e ce moment !!). Et pour ne pas en perdre une miettes de cette journée détente, pas de grâce mât, mais un levé comme d'habitude, à l'aurore vers 6 - 6h30. Aussitôt levé, aussitôt partit, ils montent ensembles au village, pour choper un bus (qu'ils attende plus d'une heure..).
  Arrivé à Mompiché, ils découvrent un endroit paradisiaque pour les touristes; petites collines arborées de végétations exotiques, plongeant dans l'océan bleue turquoise, qui ne remue que si peut, qu'ont pourrait le comparé à un immense lac.. Seul les clapotis des douces vagues, et l'air iodé, confirme bien l'endroit. Côté terre, ce sont hôtels sur hôtels, tous avec leurs charme différents, où les bambous sont omniprésents.. Ici Européens et autres étrangers, n'attachent que peut d'importance aux personnes sinistrés à quelques pas de là, ils organises leurs propre conforts, au plaisirs des commerçants du coin. Un brusque changement de réalité, mais qu'importe, pour faire une pause l'endroit est idéal..
  Une fois leur cabane en bord de mer choisi, c'est dans l'eau qu'ils continue d'apprécier ce doux parfum de tranquillité. Puis avant de ce détendre sur les hamacs, sous le bruit du large, ils organise leur futur semaine avec l'évêque. CIA annonce du changement dans les prochains jours..
  Repos, vrai douche, encore repos et ils finissent sur le sable pour un dîner copieux, où ils apprécient le calme, sans vraiment être dans l'esprit de l'ambiance commune qui rythme les vacanciers qui les entours.. Puis un repos (dans l'agitation estivale de Mompiché), entraîné par l'envoutementsans cesse des vagues, qui les bordes loin enrêvé !!

 

 

 

16/01/2017
"L'arriver des copains"


  Tôt le matin à Mompiché, tout est calme. Seul quelques voyageurs continuant leurs périple sont déjà debout pour prendre la route. Tout comme CIA d'ailleurs, qui se motive de bonne heure, non pas pour vadrouiller mais bien pour bossé.. Ils reprennent le bus, et repartent à Puerto neuvo, rejoindre la communauté..
  Arriver en début de mâtiné, ils découvrent leurs collègues dans l'attente du père Alexandro. Dès ça venu, il se présente à CIA en français et est très content de les voirs ici. Petit tour de la maison des bénévoles en chantier, puis visite du dortoir squat d'école où CIA est installé et enfin longues discutions sur des événements à venir dans ces lieux.. Puis bonne bouf avec tout ce monde là (y compris de nombreux volontaires venue pour l'occasion).
  Dans la suite de la journée, une fois le curé repartit, CIA se met au travail, tandis que les autres membres passent ma journée à débattre sur les projets d'avenir. Reno, max, Margot et Cécé, vont dans la pampa, chercher des bastins fraîchement coupés des arbres, pour les apporté au chantier. Puis, quand la chaleur intenable menace, ils fabrique un grand lit, surplombé par de belles moustiquaires pour accueillir de nouveaux arrivants.
  Petit bain, dans la rivière bien basse, car depuis 4 jours, il n'a pas plus un goûte, tandis que le soleil tape si fort. Une fois propre, toute l'équipe désent dans me village, car ils ont ma visite de Piérik (dit: Pik) et Suzanne (dit: Susu), deux bon amis Normands de Margot et Reno.. Susu et Pik, sont en ballade en Amérique latine, et ont décidés de venir apportés meurs soutient à CIA..
  Retrouvailles joyeuse dans le bourg de Puerto nuevo. Souvenirs raconter, rire et sympathie partagés, que du bonheurs. Ils rentrent donc tous ensembles, CIA n'est désormais plus 4, mais 6, du renfort est toujours bienvenue et glorifie les projets.. Sur la route, ils passent devant le chantier des parpaings et s'arrêtent pour quelques présentations rapide à quelques uns des membres de la communauté.. Arriver à bon port, petit tour de la propriété, pièce commune, chantier en court, logements, rivière comme salle de bains, puis ils tombent sur Bolivar, Fernando et d'autres, ramassant du cacaos non loin..
  Petite pause tous ensembles à dégusté une délicieuse noix de coco, son jus d'abord et le fruit ensuite. Enfin, ils terminent à table tous les 8 (CIA, Bolivart Fernando), dégustant un bon petit rezpas, accompagné par quelques douceurs offertes par nos nouveaux arrivants. Pour finir, chacuns trouve ça place dans l'école skouaté..

 

 


17/01/2017
"Chantier libre"


  Parfois les odeurs de mélanges, crème solaire, sueurs, anti-moustiques, encore sueurs..etc... d'égorge une mauvaise hygiène, qu'ils arrivent à ceux sentir eux même. Les réveils dur, à enfilé leurs uniques vêtements sale de travail, ne sont qu'un triste petit moment à subir avant de débuté chaque bonne journée !!
  Aujourd'hui, Bolivar part en famille jusqu'à demain, donc après avoir reçu quelques consignes sur les travaux pour avancé sur la maison en bois, Reno, Max et Pik, passent la mâtiné à fabriqué, montants et encadrements de fenêtres sur ma façade de la structure. Pendant ce temps, Margot, Cécé et Susu, bricoles des petits trucs ici et là. Bien occupé, le repas du midi arrive vite..
  Durant la journée le rythme est identique, le matin comme l'après-midi. Les gars prenent de plus en plus d'assurances et affines leur travail pour un résultat correct. Le travail étant en hauteur (car la maison est sir pilotis),  est moin adapté pour les filles, elles passent donc leurs temps à construire un jeux, puis des personnages avec des chutes de toutes sortes de matières, qui traine sur le chantier.. Une fois fini leur premier petit boulot, les mecs démarre le bricolage Charpente, qu'ils avait laisser avant de partir en week-end.
  Le travail ce passe à merveille, avec seulement les 3 Français sur le chantier, qui prennent leurs décisions, ce mettent toujours en accord ensembles, avant de poursuivre le travail de plus en plus acquis.. Les filles, non loin participe à leur sauce, à la construction..
 Une fois les lourdes traverses fixé sur la toiture et malgré le soleil caché, il fait bien chaud et avant le couché de soleil ils pongent dans la rivière toujours basse en ce moment, mais tout de même bien rafraîchissement..
  Le soir venu, une bonne bouf (poissons cuit au feux de bois, par manque de gaz et d'eau), ils attendent un petit festins. Repas fini et CIA s'embarque dans un jeux de société (le Toc-Toc), qu'ils apprécient avec une bonne noix de coco, s'éternisent dans la nuit.

 

 


 18/01/2017
"Plaisirs et blessures"


  Au réveil, le soleil cogne déjà fort. CIA ne perd donc pas de temps à ce mettre au travail, avant les grosses chaleurs.. Aujourd'hui 2 équipes, une de filles, qui part dans les jardins afin de participé à la récolte de cacao, puis une équipe de mecs, qui avancent sur la futur maison des bénévoles..
 Au programme, installation de toutes les traverses, pour accueillir la toiture, pour les gars. C'est donc 5 - 6 mètres de haut, que Pik et Reno joue "les acrobates de l'extrême", pour mesuré, clouté et soigné leurs travails malgré le danger omniprésent et le soleil agressif. Max quand à lui reste au sol, coupé les bastins à bonne longueurs, transmet les traverses à ces 2 compères et les approvisionnent en matériels dès que besoin. Les filles de leurs côté travail durement aux champs, à la récolte et au depiosage du cacao. A tour de rôle elles portent le panier remplit de noix de cacao, qu'elles ouvre, puis récupère toutes les graines de cacao..
  En milieu de mâtiné, catastrophe Max en voulant aidé ces potes, glisse d'une poutre du sol et ce retrouve au "sous-sol" de la maison en piloti, n'ayant pas encore de planché. Dans ça chute de plus de 1metres50, il s'écorche le long du ventre et ce cogne douloureusement le genoux. Heureusement, il ne se trouvait pas là haut, et rien de cassé, mais quand même les légères douleurs l'empêche de continué le travail une partie de l'après-midi. Reno et Pik, continuent tous les deux, appelant Bolivar quand ils ont besoin d'aide et arrivent à atteindre leurs objectifs, qui étaient de finir de posé les traverses de la sous-toiture..
  Les filles travaillent durement, à l'ombre des bananiers, elles avancent bien dans leurs tâches qui leurs plaît. Durant ces moments partagé avec quelques personnes de la communauté, elles aperçoivent un singe hurleur, (qui depuis leurs arrivé, CIA l'ait entendu régulièrement, sans ce douté qu'il s'agissait de lui, car son:t cris ressemble à celui d'un porc !!), du haut des abres. Puis plus tard, proche des cacaos, un serpent, très dangereux que la piqûre peut-être mortelle si elle n'est pas soigné dans les 4 heures suivant l'attaque !!
  Tout le monde ce retrouvent en fin de journée pour la baignade quotidienne, où le moment de plaisir est intense, malgré le peut d'eau dans la rivière (elle arrive au genoux, alors qu'il y à quelques jours il n'avaient pas pieds !!) Cécé, accompagnant sont homme dans la douleurs, se plain du mal de dos.. Mais pas de panique, c'est un bon coup de fatigue qui passe, les solides restants motive la troupe et demain après un bon repos, tout rentrera dans l'ordre.. La météo est avec eux d'ailleurs, car une pluie s'abat calmement, rafraîchissant les lieux et les esprits, leurs proposant une douce nuit à température agréable..

 

 


19/01/2017
"La maison prend forme"


  Tôt ce matin, Margot et Reno sont déjà debout près à bossé, tandis que le reste de la troupe dort encore.. Ils commencent donc seul, avec Bolivar à préparer le terrain pour une bonne journée de boulot. Quand tout me monde est levé et près à travailler, c'est de nouveau que deux clans se formes, celui des filles qui partent finir la récolte de cacao dans les cultures non loin, puis celui des garçons qui finissent quelques travaux avant de s'attaquer à la toiture en tôles..
  En fin de mâtiné, les femmes ayant fini, rejoindes les hommes sur le chantier, pour l'approvisionnement de planches. Les gars commencent doucement la toiture, jusqu'à midi. Après la pause, c'est CIA au grand complet qui s'activent sur la maisson. Cela forme alors une troupe soudé et la bonne humeur, sous l'œil de Max, étant blessé de l'aveil.. C'est une bonne journée qui s'écoule, où le planché sur pilotis est recouvert à moitier de bastins..
  Chantier nombreux où tout le monde trouve ça place. les filles battent les marteaux en rihtme, cloutant planche après planche. Les mecs eux sont sur tous les frondes, abattant le travail solidement. Mais le soleil cogne toujours et en fin d'aprem, une fatigue général envahit les lieux. Ce soir, c'est plutôt calme après dîner CIA refait le monde, avec Pik et Susu discutant sur le passé, présent et avenir de CIA, avant de tomber en sommeil.

 

 

20/01/2017
"Le déluge"


  La pluie intense c'est abattue au levé du soleil. CIA ce lève quand même au auroret se tient près pour le travail, au cas où ça se lèverai.. Mais les grosses goutes ne déamplisent pas et le sol, comme le chantier sont gorgés d'eau et donc dangereux pour y travailler..
  Autour d'une table dans l'ancienne école, c'est dressé des jeux, pour passer le temps (dessiné c'est gagné, TocToc.... Toute la journée la bande CIA est resté à l'abri à joué, attendant paisiblement les éclaircies, qui ne viendrons pas aujourd'hui. La pluie tombe et tombe sans cesse, et vca jusqu'à faire monté la rivière à plus de 2 mètres d'eau, l'entraînant dans un courant énormément dangereux, où flottes les troncs et autres branches en continue, emporté sur sont passage, tel un wagons de chargement..
  Vers 16 - 17 heures, l'eau s'arrête enfin de tombé, laissant un paysage triste et humide qui font le bonheur des grenouilles et coassent désormais par milliers. CIA en profite pour faire une ballade au village, histoire de sortir et peut et de faire le plein de courses. A leurs retour à la tombé de la nuit, leurs deux papis protecteurs (Bolivar et Fernando), inquiets les attendaient  Opour dîner, hachette à la main, près à intervenir.. Ce soir, CIA prépare à manger français (omelettes/frites), avant d'être touché par la fatigue de n'avoir rien fait de la journée. Journée de repos, imposer par la nature !!

 

 


21/01/2017
"Fin de semaine"


  Bien motivé après la journée de repos d'hier, aujourd'hui toutes personnes confondus en met un bon coup.. Bolivar, Reno et Pik, grimpent là haut pour avancer (et presque finir, "presque" car manque de matériel), la pose des tôles de la toiture. Max d'en bas les ravitailles, tandis que les filles continue la pose du planché.
  Tous avance à grand pas, et l'après-midi il ce retrouve tous à faire la même tâche, le planché. Sous une chaleur désagréable, puisque l'humidité de la veille s'évapore créant un atmosphère moite et transpirant. Une journée épuisante, fatigué de la semaine, donc qui énerve, et rend le travail pénible sur certains détails. Baignade dans les eaux agitées et dangereuse de la rivière qui est pleine, écoulant de forts courants.
  Le soir en cuisine, alors que Reno et Margot sont à la popote, ils tombent sur une tortue qui s'était égaré là. Ici les decouvertes d'animaux, comme la faune et la flore ce faits magique à chaque fois. Un bon festin, abreuvé d'alcool pour fêté le week-end enivre les lieux..

 

 

22/01/2017
"Mompiché"


  Réveil la tête dans les nuages, mais par habitude de ce levé tôt, c'est vers 6h30 que CIA saute de leurs lits, pour reprendre la route de la plage : Mompiché, comme dimanche dernier. Le même dimanche ce répète alors, une heure d'attente à l'arrêt de bus, croissant les même personnes, dès l'arrivé recherche d'un hôtel, avant de pouvoir profiter des plaisirs de l'océan, c'est à dire, ne rien faire !!
  Toute la journée fût lente et reposante, rechargeants les batteries de tout le monde. Repas, repos, repas, repos..etc... sont les seules activités que CIA s'autorise à faire, un dimanche au allure de vacance. Ici rien ne change, les même touristes, dans les même hôtels, écoutant les même musiques regardants inlassablement le même océan..
  Fatigué de ne rien faire, la soirée identique au reste de la journée, s'éteint peut à peut, tout est calme sous le bruit répétitif des vagues, qui entraîne tout le monde dans une atmosphère paisible et en dormante..

 

 

 

23/01/2017
"Île Portete"


  Même en week-end relaxe, l'horloge intérieur réveil les travailleurs durant leur pause de bonne heure. Max et Cécé, rejoignent Margot et Reno déjà au resto du coin, tandis que Pik et Susu dorment encore.. Ce matin, Reno et Margot décident d'aller ce ballader la long de la côte, pendant que les autres reste à zoné et se reposé tranquille, les pieds en éventails en bord de plage.
  Les 2 vadrouilleurs quand à eux, partent longé la plage orné de crabes de toutes tailles, au sud de Mompiché. Puis d'un chemin à l'autre ils trouve une petite crique magique, de sable noir, étincelant et extrêmement fin. Sur le bord, des tas de bois flotté rajoute au décors, un aspectpalmiersil y a tellement de bois flotté, qu'ils passent un bon moment à observé et découvrir toutes ces sculptures naturel. De là, ils passent de crique en crique, jouant avec les vagues de l'océan, qui s'estompe sous leurs pieds, et contre les rochers. Ils remonte ensuite un petit chemin de haute herbes et épaisses végétations, où les bruits grouilles dans tous les sens, ils aperçoivent même un gros iguane à quelques pas d'eux..
  Après avoir retrouver "la civilisation", où domine un énorme hôtel (style club-med), qui s'est accaparé une bonne partie du littoral, ils atterrissent à la fin d'une route, qui plonge directement dans un bras de mer. Des petits bateaux sont là, et attendent les personnes voulant traversé pour rejoindre île de "Portete". Ce retrouvant devant ce fait, Reno et Margot décident de ce faire plaisir, et d'aller rejoindre cette île frangée de palmiers, qui possède une longue plage de sable blond.. Ici ça ne manque pas d'activités proposé par l'envahisseur complexe hôtelier. Petit moment agréable, suivit d'une baignade dans l'eau transparente et chaude, où les vagues ne manque pas..
  De retour le midi en tuk-tuk, ils retrouvent toute la clique pour manger ensembles une dernière fois, avant de rentré sur Puerto Nuevo. Bon repas, petite digestion et hop c'est repartit pour entamé la semaine. C'est en voiture qu'ils ont trouver pour rentré pépère..
  Chez Bolivar et Fernando, le chantier à un peut avancer, mais il fait trop chaud pour ce mettre au travail. Ils decouvrent des naissaces de colibries dont ils avaient remarquer le nid et mes tous petits oeufs ma semaine passé. Puis, Max et Reno partent pour un petit tour en ville, pour faire des courses. S'en suive alors, un bon repas avant de tombé de fatigue, par cette journée bien garnis..

 

 


24/01/2017
"Livraison de maisons"


    Aujourd'hui changement de programme, alors que Cécé et Margot partent de bonheur pour "Atacames", ville au nord proche d'Esmeraldas, situé à plus d'une heure de bus, mais la plus proche qui possède une banque !! Pendant ce temps, le reste de l'équipe ce met au boulot. Puis s'en vain le tour de Max et Reno, qui s'en vont à la rencontre d'un camion, possédant leur commande de maisons, qui doit passer en milieu de mâtiné à Puerto Nuevo.. Mais un retard qu'ils apprennent plus tard, leurs ont fait pascienté deux bonne heures en bord de route, pour rien !!
  Midi, tous le monde ce retrouve chez Bolivar pour manger.. Après ça, Margot, Susu, Cécé et Pik, reprennent le taf sur la maison, où est entamé le bardage bois. Reno et Max quand à eux repartent attendre le bus qui ne tarde pas à venir..
  Quand me camion arrive, les deux déménageurs grimpe à l'arrière avec tous me chargement (bois, bastaings, tôles, structures en bambous préfabriqués...etc.... Ils prennent la route pour "Chamanga"(1 heure). Arriver à l'entrée de Chamanga, le camion s'installe près d'un maison-cabane. Ils descendent et rencontre une famille de 3 enfants, une ados et les parents, vivant à ma sortie de la ville. Bref présentation, et tout le monde se met au déchargement, dans ma bonne humeur et la timidité d'une rencontre peut ordinaire.. Un premier contact, de courts échanges et hop les voilà tout deux repartis pour la deuxième livraison de maison, situé non loin, dans un quartier entièrement recréer par ce type de maisons, car ici mes séismes n'a épargné personnes. Sur ce site, 5 ados, 2 adultes et une mère compossant toute une famille, décharge avec eux le camion, à un vitesse folle, comme si cela était un vol. CIA ressent l'attente et l'inquiétude du futur dans leurs yeux.. Tous voulent qu'ils reste pour commencé les travaux dès demain, d'autres même supplie du regard Reno et Max dans le camion, pour obtenir eux aussi une maison, mais hélas CIA ne peut offrir que 3 maisons et ces mis en relation avec l'église pour connaître les familles qui ont le plus besoin d'urgence..
  Voilà le nouveau programme de CIA, qui doit commencé début de semaine prochaine, le temps pour eux de finir la maison des bénévoles à Puerto nuevo.. Retour donc, pour annoncé les nouvelles au reste de la troupe, qui ont bien avancé sur le bardage de la maison, durant cette journée. La nuit arrivant, un jeux de carte s'improvise pour entamé cette douce nuit, accompagné de bruits toujours plus étranges chaque nuit..

 

 

 

25/01/2017
"Bardage"


  Le réveil des travailleurs est toujours le même, d'abord Reno ce lève, rapidement suivit par Margot. S'en vient alors celui de Max, rejoint par Cécé. Ils mangent tout les quatres. Une fois tous aux travail, Pik et Susu ce lèvent à leurs tour. Chaque matin la même routine se répète..
  Le temps est couvert aujourd'hui, extra pour faire une bonne journée de travail. CIA au complet ce met sur le bardage, aidé de quelques personnes hommes de la communauté, pendant que leurs femmes nettoient le site autour de la maison.. Mesure, découpe, pose, alignement, cloutage et ainsi de suite, planche après planche, la maison des volontaires prend former avance bien. Une pluie fine s'étale dans la journée, mais plus de panique puisqu'ils travail tous à labrit maintenant..
  Dans l'après-midi Susu et Pik s'en vont au village pour le ravitaillement journalier, tandis que mes reste de la troupe, continue à travailler durement. Les membres de la communauté s'estompe peut à peut, ne laissant que Reno, Max, Margot et Cécé à leurs tâches.
  Dès la fin du chantier, ils saute tous comme tous les jours dans la rivière, même si le niveau de l'eau est très faible. Retour de Pik et Susu, être ce soir grosse bouf végétarienne, que prépare CIA, car c'est au fourneau qu'ils exercent à tour de rôle (aux plus motivés !!), leurs talents de cuisinier, malgré le peut de matériels et manque de nourritures varié, CIA arrivent à très bien s'en sortir et manger à ça faim dans de bon petits plats. Puis la nuit tombe sur les épaules fatigués de chacun, le ventre plein ils s'en vont dormir dans leurs bâtisse d'école abandonné !!

 

 

 

26/01/2017
"Seul sur le chantier"


  Au réveil, Reno voit Fernando partir pour Quito et vu que Bolivar est parti lui aussi depuis 2 jours pour des soins médicales, voilà CIA seul livré à eux même !! Le chantier bardage pour certains, bricole pour d'autres, tout le monde arrive à s'occuper comme il peut et la maison avance, voyant le beau tableau touché à ça fin tranquillement.
  Mais c'est sans compté la fatigue de quelques uns que ce projet approche de l'aboutissement. L'entraide est de vigueur, et CIA n'a qu'un but faire plaisir, c'est pour cela que même sans personnes, ils avancent bien. Ils ont aussi la confiance des maîtres des lieux pour gardé justement leurs biens !!
  Bolivar rentre dans l'après-midi, beau et heureux de rentré fièrement chez lui, mais lui aussi bien fatigué de son séjour passé à l'extérieur. Dès après la baignade qui suit le travail, Reno et Margot filent au village à pied (avant que la nuit tombe), pour faire le plein de courses. Sur la route, ils croissent des passant leurs faisant signes de tête, "Holla, Bouena's" (Salut, Bonjour), et même des bras levé des passants en auto où à moto.. Ici maintenant tout le monde connaît les "grigos" (blanc amical) du coin, car CIA sont les seuls personnes étrangères. La sympathie et les sourires sont d'ailleurs beaucoup plus présent et franc, qu'à leurs arrivés..
  Le soir, la nuit tombe aussi vite que le sommeil. L'énergie n'y est plus après mangé et CIA s'endort paisiblement, dans les bruits qu'ils ne remarque même plus, tel une habitude se toujours, une adaptation qui ces faite en douceur, comme la chaleur. Si il y a une chose par contre dont ils n'arrivent à s'habituer, ce sont les moustiques...

 

 

 

27/01/2017
"Surprise"


  Comme d'hab', 6 heures debout, Reno, Max, Margot et Cécé se retrouvent au petit déjeuner. Mais ensuite Max et Reno partent prendre le bus pour Chamanga. Là bas ils retrouvent la deuxième maison qu'ils avaient livré il y a 3 jours et à leurs grande surprise, la maison est déjà monté et quasiment fini. Il faut précisé aussi, que cette famille été dans l'urgence, puisque lors de la livraison, elle avait démonté tout leur abris de bâches provisoire pour accueillir la nouvelle maison, en pensant que CIA resté aussitôt la monté. Mais CIA terminant leurs chantier à Puerto Nuevo, ne pouvaient être partout. Ils décidèrent quand même de passé le vendredi pour commencé les travaux, mais visiblement trop tard.. Les jeunes de la famille, aidé des voisins ont travail durement pour résoudre le problème majeur, qui aujourd'hui peuvent vivre pleinement de leur nouvelle habitation.
  Reno et Max passe quand même la mâtiné avec eux, les aidants à construire le balcon. Les maisons que CIA offrent aux familles démunies, sont faites de bois et bambous, 25 mètres carré, dont les pièces, ouvertures et hauteurs (sur pilotis ou non), sont adaptable aux désirs des futurs propriétaires. Ici dans ce cas, la maison ce trouve dans un quartier, fait de maisons tous identique, donc la maison n'ai pas en hauteur, possède un petit balcon, tout comme ça maison voisine qui la colle.
  A Puerto Nuevo pendant ce temps, c'est la folie. Beaucoup de monde passe, certain viennent pour déchargé du matériels pour les maisons du village à venir, d'autre décharge le reste du planché qu'il manque pour finir la maison et même un livraison d'un petit cochon est amené en moto-taxi, pour la fête de demain. Margot et Cécé finissent leurs travailles de bardage d'hier, Pik et Susu bricole des finitions eux aussi.. Au moment du repas, une réunion réunissant une trentaine de personnes se met en place pour la fête et le futur du village à venir !!
  Midi, c'est la pause à Chamanga, puis Max et Reno files au déchargement de la troisième maison, voisine à la première. Rencontre du père de la famille et les proches, puis ils passent un moment dans une tierce maison déjà construite, pour pouvoir y prendre des mesures, photos et ainsi avoir une vision globale de ce qui les attends.. Par la suite, ils vont voir un logement qui leur est dédié, appartenant à l'église, pour la durée des travaux. Enfin, ils finissent par rentré rejoindre tout le monde a Puerto Nuevo, lessivé d'avoir été sur tous les fonds, sous une chaleur accablante..
  Dans l'après-midi chez Pik et les filles, ils ont bien avancés. Pik et Bolivar ont fini le toit qui était resté en attente par manque de tôles, le planché à repris ça pose à vive allure et un escalier à même été réalisé pour un accès dans la maison (qui est sur pilori à 1m50), plus simple et sécurisant..
  CIA ce retrouvent dans la rivière pour un agréable moment, où ils se partagent leurs journée. Le soir, CIA fait la connaissance de la femme de Bolivar, venue spécialement pour la fête de ce week-end. Puis de longues discutions sans trop de sens, emmène tous le monde à la fatigue..

 

 


28/01/2017
"Fin de chantier"


  4 heures du matin, CIA est réveiller par le crépitement d'un grand feux. Bolivar et Fernando sont déjà debout et prépare le cochon qui sera servit ce midi. Vision pas très appétissante dès le levé pour CIA, qui tombent face à l'intérieur du cochon étripé..
  Aujourd'hui sur le chantier, il y a du monde, et tous travailles durement pour finir la maison. Par petites équipes de deux, ils y a du travail pour tous et personnes ne chôme. La maison a bien avancé, trois faces sont recouvertes par le bardage, le sol est entièrement fini et des portes ont même été installé. Vers midi, CIA s'offre le luxe d'une baignade bien mérite dans la rivière avant de passer à table. Il y a du monde au rendez-vous, une trentaine d'adultes et une vingtaine d'enfants sont présent, pour célébré l'anniversaire de deux d'entre eux.
  Fernando sort trois enceintes, et nous fait découvrir sont côté DJ que CIA ignorait jusqu'à maintenant.. Le délicieux cochon est servit et apprécié de tous, puis Fernando coupe la musique pour une réunion de fin de chantier, pour félicité Max, Cécé, Reno, Margot, Pik et Susu, pour leurs travails. Des applaudissements général s'enchaînent, ce qui rend émouvant la scène. Pour conclure, la bâtisse de 150 mètres carré dédié aux futurs volontaires s'appellera : "C'est Ici Ailleurs" !!
  L'heure du gâteau est servit et la tradition veux que ceux qui fête leurs anniversaire (ici deux jeunes garçons), plonge leurs têtes poussé par un adulte dan le gâteau et ce retrouve donc entarté.. Le bal commence alors, il est 15 heures environ et les danseurs commence timidement à prendre place de la piste. L'alcool est alors distribué à tous, dans un même verre. A tour de rôle, tous le monde boit une petite gorgé d'alcool fort dilué dans de différentes mixture.. Le verre tourne et tourne et tourne encore ce qui fait tourné la tête de tous le monde, et l'euphorie amène tous le monde à la danse, jusqu'au soir où la fête continue. Plusieurs aller-retour au village pour faire le plein de boissons alcoolisées. Des sentiments forts ce produisent durant cette belle fête, que chacuns apprécies. Tard dans la nuit, la fête ce poursuit !!

 

 


29/01/2017
"La fête continue"


  Le son crachez des enceintes dès 8 heures du matin. CIA ce lève la tête dans le c..... Et aussitôt réveiller aussitôt ils remettent ça, alcool, danse, sourire, partage d'émotions et sympathie où tous refond le monde à leurs manières..
  La journée toujours rihtmé par la musique Équatorienne, ce passe de commentaires, mais seulement décrit par ces quelques mots : fête, danse, repos, baignade, fête, danse, repos...etc..imbibé d'alcool !!
  Le soir, CIA, Bolivar, Fernando et Francisco (un bon vivant), ce retrouvent pour finir ce joyeux week-end. Reno profite de ces instants plus calme pour graver dans une belle pièce de bois : "C'est Ici Ailleurs", en souvenir de leurs bon moment passé ici à Perto Nuevo, et plus précisément dans le futur hameau qui portera le nom de "Gracia Roliane", deux fondateurs à l'origine de ce magnifique projet !!!
 
 

 

 

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