Maison en sac

Namasté

Du 04 au 08 octobre : 5 jours

"Introduction"

   La construction de maison en sac, vient de Thaïlande. Après le tsunami qui les avaient touché il y à maintenant quelques années, ils ont mis cette technique de construction qui a fait ces preuves. En Turquie, une personne avait aussi récupérer l'idée, pour ça propre maison, il fût la risée du village durant ça fabrication et personnes ne l'aida. Seulement voilà, la Turquie fût également victime d'un tremblement de terre, et la seule maison du village qui est tenue debout, est la maison en sac.. La construction est simple, établir un périmètre (ici la maison fait 6 mètres par 6 mètres), creusé pour y installé les fondations identique au reste. Un rouleau de bâche tissé en forme de tunnel, (pour créer les sacs), sont remplis de terre sableuse. Les sacs créer font entre 1 et 2 mètres, représentant au alentour de 100 kgs, que l'ont tasse le plus possible, et ont réalise alors un premier rang. Nous tassons encore, à l'aide d'une masse plate, puis nous étalons deux filles barbelés sur l'ensemble du rang (pour unede tructure uniforme). Et ces reparti pour un tour, en réalisant à nouveau un rang de sac. Et ainsi de suite selon la hauteur choisi, sans oublié les ouvertures fabriqué à l'avance en bois, puis arrivera enfin la toiture en bambous, recouvert de tôles. Arrivera alors le moment de recouvrir les murs (sacs) d'un torchis, fabrication artisanale bien sûr..
   Ici à Baluwapati, cette maison sera pour la famille la plus pauvre du village (voté par les villageois eux même, pour éviter toute tension, une fois la maison fini). Les membres de la famille représente, la grand-mère, le père et la petite fille nommé Manissa, qui est bien présente sur le chantier. Manissa à perdue ça mère durant le tremblement de terre, ainsi que ça maison entièrement détruite, là ou actuellement nous réalisons leurs futur et solide maison..

-04/10/2015-

"Le chantier"

Nous nous réveillons vers 7 heure. Prenons le temps de déjeuner, et avant 9 heure nous sommes déjà sur le chantier, jusqu'à midi. Ont reprend le travaille vers 14 heure, pour finir à la tomber de la nuit, vers 18 - 19 heure.. La chaleur est intense durant la journée, donc les pauses sont souvent nécessaire, ce qui nous permet de jouer avec Manissa et d'autres enfants qui ne manque pas de s'arrêter et nous aidés à tour de rôle, quand ils passent prêt du chantier. Les adultes aussi s'arrête, ils regardent très intrigués le chantier, et parfois même touche les sacs de la maison pour y vérifier ça solidité, qui les surprend d'autant plus. Nous terminons la journée devant le tipis d'Ousuel et David, à boire de l'alcool de riz (raksy), jusqu'à plus d'heure, et ainsi liée une amitié tous ensembles. Nous apprenons le Français à Ousuel, qui en retour nous apprend le Népalais, et David l'Anglais, tous cela autour des montagne, et sous les étoiles qui brilles intensément.. PS: la grand-mère de Manissa, nous à dit aujourd'hui : "Vous êtes les envoyés de Dieu", quoi de plus motivant comme compliment. Entre cela et la montagne qui nous observe, l'énergie pour ce travail est très forte, et malgré la dureté des travaux et leurs conditions, cela ce fait dans la joie..

-05/10/2015-

"L'amitié"

Réveil toujours de bonheur (et ces que du bonheurs), malgré les peut d'heures de sommeil accomplit. Aujourd'hui Adrien repart sur Katmandou, pour savoir si la situation ces débloquée pour le projet de la reconstruction de l'école (on n'apprendra plus tard que non). Ce matin, il y a peut de travail sur la maison, car le chantier manque de matériaux (fille barbelés). Cela fait plusieurs jours qu'ils attendent le rouleau de fille barbelés, mais dans la ville la plus proche (30 kms environs), il n'y en avait plus. Il a fallut le faire venir de la capital (Katmandou), mais une fois le rouleau de barbelés trouver, il a fallu le transporté jusqu'au village où ce trouve l'arrêt de bus, mais cela n'a pas été simple, car il y a peut de bus par manque de gasoil, et les bus sont tellement chargé quand il y'en n'a, que certain chauffeur préfère gardé la place pour des passagers (donc qui paye la place), plutôt que consacré de la place à du barbelés.. Bon dû coup pour nous la matinée ce passe au ralentit sur le chantier, entre finitions des sacs mis en place, et les jeux organisés avec Manissa. Ce matin ces basket-ball, avec une balle rebondissante que l'ont avait apporté, (et ces Margot qui fait le panier)..
Après le déjeuner du midi, ont reçoit un appel pour nous informé que le rouleau de barbelés est arrivé.. OK ont aperçoit une camionnette partir en direction de la ville où arrivera le rouleau, nous partons donc en courant à ça poursuite à travers la montagne pour qu'elle puisse nous servir de taxi (les véhicules qui passe au village sont rare).. Nous arrivons tant bien que mal, à la rattraper après une longue course éprouvante. Le premier camion est déjà plein de monde, mais un deuxième arrive aussitôt et il lui reste juste la place pour nous quatre (Reno, David, Ousuel et Pierre un Danois qui nous a rejoint). Margot est resté avec Anna (la compagne de Pierre), et ont joué toute l'après-midi avec les enfants dans la maison en construction.. Pour nous les gars, une autre épreuve nous attend. Après une demi-heure de trajet dans la remorque du camion, qui bouge tel un bateau, au vu de la qualité de la route (défoncé).. A notre arrivé, nous récupérons le rouleau de barbelés, et attendons un autre camion pour le retour au village, mais ce coup-ci ont n'a moin de chance et aucun camion n'arrive à notre rencontre. Nous décidons donc de revenir à pied avec, avant que la nuit tombe.. Ce fût une dure épreuve, nous avons pris le chemin des véhicules, donc plus long, mais plus praticable. Plusieurs techniques ont été essayé pour descendre le rouleau de barbelés pesant plus de 40 kgs, et ont n'a choisi de le porté à deux, chacun notre tour, à l'aide d'un bambou.. Nous sommes arrivé à la tombé de la nuit au chantier. La soirée ce déroula comme les autres nuits, autour d'une bouteille de Raksy, à discuté et mélangé nos différentes cultures.. Dans les montagnes face a nous, la musique traditionnel, bât sont plein.

-06/10/2015-

"L'équipe"

Au matin, la musique est toujours présente et pour nous 4 (Reno, Margot, David et Ousuel), déjà une petite habitude ces créer. Levé de bonheur, nous passons dire bonjour "Namasté", à Manissa qui vît dans une tante prêt de la construction de la maison en sac (en attendant la fin des travaux),  elle est toujours réveiller au petit matin, et nous attend avec le sourire au lèvres.. Puis direction le village pour boire le thé, et nous nous mettons au travail vers 8 - 9 heure. Le midi ont fait une pause de 1H30 en général, puis ont reprend le travail jusqu'à ce qu'ont n'ai plus assez de lumière pour voir ce que l'ont fait..
Aujourd'hui David est re-monter au village de où ce trouve l'arrêt des bus, pour y trouvé du bois, et ainsi réalisé une ceinture de toit, afin d'accueillir le bambous pour la futur toitures, et par la même occasion ramené Adrien sur le chantier. Ils sont revenu en fin d'après-midi avec Daniel (le mari de Claudine, "babou"), mais sans bois et ce sont mis directement à travailler dès leurs arrivés, ce qui nous a bien soulager. De nouveaux jeux ont été mis en place par nos soins, pour les enfants durant la journée et Margot a réalisé un bandage au pied de un d'entre eux, qui avait a la cheville qui avait doublé de volume..

-07/10/2015-

"Le quotidien"

Après une nuit de courte durée, où la fête étaient bien présente pour accueillir les nouveaux travailleurs, nous reprenons notre rituel de tous les jours. Les courbatures et les mals de dos ce ressentent chez chacun d'entre nous, mais l'énergie qui bât dans nos cœur est bien plus forte, et donc le travail ce fait toujours aussi bien. Nous donnons un peut de travaille au menuisier du coin, qui réalise notre projet, à l'aide de vieille pourtre récupérer sur l'ancienne maison, étant donner qu'il n'y a plus de bois a acheté ailleurs..
Entouré d'enfants, marelle, jeux de balle et autres sont bien présent sur le chantier aujourd'hui, étant donner les fortes chaleurs et la fatigue qui s'accumule. Le soir, nous sommes bien récompensés, à l'arrivé de trois grand-mères qui une fois dans la maison en sac, ce mettent à danser et nous apporte à tous un vrai moment de pure bonheur..

-08/10/2015-

"L'émotion"

Ça y est c'est notre jour de départ pour nous, la maison a doublé de hauteur depuis notre arrivé, et David et Ousuel, pense qu'il reste la fin de semaine à la reconstruction de sacs sable (1 à 2 jours), puis le montage de la toiture, qui dura également 1 à 2 jours. Pour la finition en torchis, elle ce fera sans doute plus tard.. Nous sommes resté la matinée à les aidé, puis une séance photos avec les travailleurs et la famille devant la maison.. L'émotion était grande au moment de partir.. Nous prenons ensuite la route du retour à pied à travers la montagne. Nous sommes partie en fin de matinée pour être sûr d'arriver à Katmandou dans la journée, car la situation du gasoil est devenu vraiment critique et donc les véhicules sur la route sont rare.. Après une bonne demi-heure de marche sous un soleil de plomb, nous entendons notre sauveur arrivé du bat de la montagne, "un 4X4". Super heureux de le voir arrivé à notre hauteur, nous lui feson signe de s'arrêter, ce qu'il fît naturellement, et par chance il est vide donc de ma place et du confort à la fois, génial. Et la surprise de plus, c'est qu'il va lui aussi sur Katmandou (si le peut de gasoil qu'il lui reste dans le véhicule, lui permet d'y arriver). La chance reste avec nous, et le voyage ce fait sans encombres.. Nous arrivons donc à Katmandou en début d'aprème (beaucoup plus tôt que prévu), et nous passons le reste de la journée à nous lavé et ce reposé, entre un petit thé en compagnie d'un Népalais, qui part demain pour la reconstruction de l'école de sont village, donc nous en profitons pour lui faire un don,  lui souhaitant un très bon courage..