Khadichaur

Namasté

Du 15 au 20 novembre : 6 jours

-15/11/2015-

"Retour au chantier"

Petit réveil tranquille sachant que l'ont metera sûrement des heures à trouver un bus en direction de "Sindhupalchoc". Après passer le début de mâtiné à faire les shops pour trouver des petites choses qui nous seront d'un grand confort une fois au chantier dans la montagne. Après ça, nous nous dirigeons vers l'arrêt de bus, où tous les bus qui nous passent devant sont pleins à craqué (à tel point que non seulement les personnes sont sur le toit, mais également accrochés aux barreaux des échelles du bus, côté intérieur les gens sont tassé le plus possible débordant même..)
Nous pascientons un moment, avant de trouver notre bonheur, un toit de bus où nous trouvons de la pour nous 5. Génial, sauf que la route va durée de 3 à 4 heures pour rejoindre Khadichaur, nous désespèrent un peut. A notre arriver vers 13 heure petit resto oblige, avant d'entamer la ballade dans la montagne pendant à peine une heure, pour rejoindre notre chantrier.
Grande surprise à notre arrivés, tous les autres volontaires resté ici durant le festival, ont repris le travail et bien avancés dans le montages des sacs qui est arriver maintenant au 3ème rang. Une super nouvelle qui nous anchante tous et nous remet direct dans le bain. Avant de ce réinstaller, nous déplaçons les tipys, car le site va être exploité pour trouver de la terre pour la maison, là où l'ont s'étaient installés. Une fois ce petit travail fini, nous nous remettons directement au travail, et remplaçons les travailleurs épuisés.
La nuit tombant sur la vallée, nous nous retrouvons tous autour du feux pour fêter notre retour, en compagnie de deux nouveaux volontaires venant d'arriver, Charlotte une Américaine et John un Canadien..

-16/11/2015-

"La reprise"

Ce matin le reveil est rude, mais n'empêche pas tous le monde de ce motivé rapidement et ce remettre au boulot. Une journée nous rappelant des souvenirs à Margot et Reno, car quand ils sont arrivés la première fois au premier chantier de Balowapati, la maison était arriver à ce point. Nous reprenons donc vite nos habitude, et tandis que nous réalisons sac après sac, sans oublier les étapes intermédiaires, d'autres réalises le montage et la pose des fenêtres, pendant que le reste apportent de la terre sur le site, pioché à une 100taines de mètres..
La reprise se fait très bien dans la bonne humeur général et donc la maison avance à un rithme incroyable, au vu des conditions. Une bonne première journée de travail, où tous le monde ces bien donné pour un début qui vise le meilleur.
Le soir venant nous nous retrouvons autour du feux, malheur : il n'y a plus de rocksy. Reno et Seb, partent donc une petite heure, descendre la montagne et la remonter aussitôt en pleine nuit avec à leurs retour 10 litres de bon rocksy pour tous le monde, comme chaque soir.. "Myto-ça !!

-17/11/2015-

*"Rien ne va plus"

Ce matin c'est le bordel, nous réalisons 4 sacs, où nous fesons 4 erreurs donc 4 fois à recommencer la même chose, ce qui nous bouffe une bonne partie de la mâtinée, ainsi que notre énergies et enfin notre morales qui est au bord de l'énervement. Mais bon gardons l'esprit positif et continuons à travailler dans la bonne humeur..
Midi arrive et le travail écoulé n'est pas terrible, mais avec notre volonté d'acier, nous nous remettons dans le droit chemin, dès l'après-midi et réalisons un travail meilleur, dans un bon rendement, même si la fatigue commence à prendre de l'ampeleur sur les visages de chacune d'entre nous.
Aujourd'hui, Calie, Adam et John s'envons à la découverte de nouveaux projets, chacun de leurs côté. Pas de changement pour ce qui est de la soirée, toujours autour du feux de camp où les conversations internationales s'entremêlent pour créer une même ambiance humaine chaleureuse..

-18/11/2015-

"Le ravitaillement"

Ce matin les vapeurs de rocksy flotte encore dans les esprits de certains. Mais cela ne nous empêche pas de réalisé une serperbe mâtinée de travail, où tous le monde ce donne à fond et le boulot bien fait est reparti comme avant. Les rangs de sacs grimpent jour après jour, et maintenant toutes les ouvertures sont installé, prêt à être confondue dans les murs de la maison. Calie est revenue parmis nous avec "Sangé", un personnage membre de l'association qui va nous aidé pour la journée.
Durant la pause déjeune nous remarquons que nous arrivons à la fin de notre stock de barbelés (5 rouleaux de 25 kg ont déjà été écoulés). Une situation qui nous rappelle le premier chantier de Balowapati. En début d'aprème, Ousuel, Reno et Max, descendent donc à la ville avec une brouette, pour s'approvisionner en barbelés, pendant que tous les autres restent au chantier pour avancé et monté les murs de sacs, petit à petit.. A la ville, nous trouvons seulement 2 rouleaux de barbelé de plus de 25 kgs chacun, donc bien assez pour le poid à ramené avec notre brouette dont le pneu est crevé.. Nous traversons le centre ainsi, puis au moment de gravir la montagne, un pik-up s'arrête à notre hauteur et sans posé de questions, nous invite à monté directement à l'arrière du véhicule avec notre chargement. Nous grimpons donc à bord très heureux et il nous emmènent directement à l'entrée du chemin de la maison sans même lui dire quoi que se soit.. Les gens parlent en ville et notre présence est déjà bien connue dans les alentours..
De retour au chantier heureux d'avoir si peut forcé, nous nous remettons aussitôt au travail, dans une force survitaminé qui nous entraînent comme chaque jour, jusqu'à la tombé de la nuit.. Une soirée plus calme ce fît ensuite pour récupérer de ces journées plus que chargé..

-19/11/2015-

"Séisme"

Décidément le Népal est fait que de surprise chaque jour, l'imprévu est omniprésent et donc le quotidien d'ici est une aventure à vivre intensément pour nous. Ce matin pendant notre pause petit déjeuner vers 10 heure nous avons ressenti 2 séismes coup sur coup, un premier assez fort qui a durer 2 - 3 secondes, suivit d'un autre moin intense d'environ 1 seconde. Un moment de vie étrange où le temps de comprendre ce qu'il ce passe et c'est déjà fini, un moment qui a laisser tout le monde dans une peur déjà évaporé. A l'instant où cela c'est produit tout le monde ces levé du muret qui tremblait sous nos fesses, les yeux écarquillés cherchant le regard de l'autre pour comprendre se qu'il ce passe et voilà c'est fini, nous laissant tous dans une crainte incompris, avant de recommencé peut de temps après. C'est le 4ème tremblement de terre important que nous vivons au Népal, mais les premiers ont ne les avaient pas ressentie.
Ce moment de forte émotions ne nous empêchent pas de faire une bonne journée de travail et de continuer à monter nos murs de sacs de riz petit à petit. Sauf que aujourd'hui les discutions reviennent toujours à parler de secousses, vibrations, tremblement... parfois dans l'humour, d'autres fois dans une triste réalité..
Autour du feux ce soir nous fêtons l'anniversaire de Adan (le Polonais), qui a pris 35 ans et l'autre Adan (l'Américain), est rentré aujourd'hui pour continuer le chantier.

-20/11/2015-

"L'épicentre"

C'est la dernière mâtinée de travail sur ce projet pour nous. Et voilà comme toute bonne chose ont une fin, c'est le moment pour nous de partir vers d'autres aventures, pour ce reposé un peux et réalisé d'autres projets. Nous avons décidé de partir, car nous voyons le temps passer et bientôt la fin de notre voyage arrivée à terme. Depuis notre arrivé au Népal, il y a maitenant plus de 2 mois, nous avons beaucoup travailler et peut visiter ce pays d'incroyable trésors de beauté, il est maintenant venu l'heure d'en profiter. Et puis sur ce chantier nous sommes nombreux et donc la maison ce finira avec où sans nous, maintenant que nous avons appris toutes notre façon de travailler au autres volontaires, c'est à eux de prendre les reines et nous partons l'esprit tranquille au vu de l'équipe de bosseurs qui est présentes. La maison est également bien avancée, puisque les murs de sacs sont quasiment à hauteur de portes et fenêtres..
Bon courage à tous les volontaires qui restent sur ce projet, Bon courage également à tous les volontaires du Népal et enfin Bon courage à tous les volontaires de cette planète peut un porte leurs actions en cours : GOOD LUCK !!!
Travail fini, bagages bouclés et dernière photo de groupe réalisé avant de prendre la route en direction de la Chine et plus particulièrement du Tibet. Dans l'après-midi sur les toit de bus, nous réalisons un voyage de 2 à 3 heures pour faire 30 kms pour rejoindre "Tatopani" et s'approcher de la frontière du Tibet. Ce voyage est long et extrême, car nous traversons la zone de l'épicentre du séisme d'avril dernier. Durant ce voyage nous réalisons la gravité énorme des dégâts causé par ce terrible tremblement de terre, et ce sont des visions d'horreurs que nous voyons à chaqu'un de nos regards posé dans ce paysage totalement ravagé par les éboulements. Il n'y a pas de mots pour vous décrire ce que l'ont voit et ce que l'ont ressent. Nos cœurs sont pincé par l'émotion de chaque maisons détruites où bien qui tiennent par miracle encore debout malgré les murs arrachés, les structures totalement décalés, où rochers et poussières ont pris place dans le décors, devenue des lieux morts où les habitants des montagne essais de survivent. Nos esprits aussi sont envahis par la peur, quand nous traversons des routes sur des kms, où les éboulements ont eu lieu de chaque côté de la montagne, suivant la route à flanc de falaise. Nous ne pouvons pas enlevé cette vision de cauchemar et de pensées aux risques qu'au moindre moment la nature peut recommencé à tremblée et nous engloutir à jamais. Tellement de sentiments d'une forte réalité, qui nous remet à notre place, nous, humains et poussière de ce monde..
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A notre arrivé à "Tatopani", ville normalement touristique devenu déserte d'étrangers nous réalisons encore une fois que nous sommes les seuls occidentaux à avoir pris le risque de venir ici. Mais nous avions un objectif dans cette ville, le rêve Népalais qui est aujourd'hui devenu le nôtre : un bain d'eaux chaudes.. Hé oui la région est connu pour ces sources d'eaux chaudes, dont nous allons profitez dès notre descente du bus, pour lavé nos corps ensevelis par la crasse d'une semaine de chantier..
Pour finir cette journée de forte émotions, nous trouvons une des rares guest-house encore ouvert dans la ville, pour y passé la nuit en bordure de rivière. Les pensées sont curieuses avant de s'endormir où l'inquiétude se mélange à la paranoïa d'un nouveau séisme..