Équateur

05/01/2017
"La route des chantiers"

  Levé à 4 heure du matin, pour un départ de bonheur. Dans les rues de la ville encore endormiedormie, sous une pluie fine (les restant de l'orage qui ces abattu sur Quito cette nuit), CIA attend César (l'architecte, chef de chantier), pour prendre la route de l'ouest.
  Sur la route, ils admirent de gauche à droite les montagnes recouvert de palmiers, bananiers et autres arbres exotiques. Les regards ne perdent aucune occasion de voir la végétation dense et magnifique, où s'y loge les villages et maisons reculé. Petit arrêt après 2 heures de route chez une amie de César, où ils tombent nez à nez (c'est le cas de la dire), avec des dizaines de colibri porte-épée. Tout petit oiseau, entre l'insecte et d'oiseaux, mesurant entre 5 et 10 centimètres, et de toutes couleurs confondues. C'est le seul oiseau qui a un bec plus long que sont corps..
  Les arrêts suivants, sont plus professionnel, car César montrent à l'équipe des maisons types "Mia" préfabriqués, en chantier. Une première, où juste les murs viennent fraîchement d'être montés, puis une secondes, où les ouvriers travailles sur les finitions d'une habitations presque fini. Ici ce sont des maisons hautes gammes, pour une clientèles aisées, mais cela donne un premiers aperçu à CIA, qui rentre dans le sujet grâce à ce "parcours éducatif"..
  Après 5 heures de route, ils passent à "Pedermales", une ville touché par les séismes où les ravages sont encore très voyant, mais la vie à repris sont court.. Puis c'est au bout de 7 heures de voyage qu'ils arrrivent enfin à "Jama", petite commune entièrement détruite (70℅ de la ville a été déclaré inhabitable). Vision chaotique, c'est le désolement totale, les zones qu'ils traverses sont soit totalement détruite, soit en travaux de reconstruction, seul peut de maisons restant existantes gardent un souvenir terrible que témoigne leurs fissures énormes..
  Ils passent de chantier en chantier, voir l'avancement différés de chaque maisons. Les constructions "Mia", ont plus d'une dizaines de maisons en cours dans cette région. Ils vont ensuite sur un dernier chantier, où ils vont mettre la main à la patte dès demain.. En attendant, ils vont visité les environs, et donc la plage. Grande plage (style Normande), où l'activité des pêcheurs y est intense. A longueur de temps des petits bateaux de pêche ramène des quantités impressionnantes des poissons, dont énormément de requins.
  Fin de journée au calme où les projets défilent, car avec la réalité du terrain plusieurs interrogations principales ce posent, suivit de chemins diverses qui mes CIA légèrement dans le flow, aux projets à venir. Le temps, les rencontres et l'environnement des prochains jours vont sûrement les aiguillés sur les choix à suivres..

06/01/2017
"Journée à l'essai"

  RéveilléRéveillé de bonheur pour une première journée de travail sur les chantiers. CIA arrivent dès 7 heures sur une première maison en construction. Ici les maisons "Mia" sont financé par une association religieuse, pour les habitants qui n'ont pas de papiers et peut d'argents, victime des séismes, pour les autres l'État d'Équateur, finances des petites maisons en armatures métallique, recouvert simplement d'une couche d'enduit sur une trame. Solution rapide, mais sans aucune isolation, donc très difficiles à vivre durant les fortes chaleurs tout au long de l'année. Ce type de maison, CIA en découvre beaucoup entre les ruines, certaines fini et de nombreuses en plein chantier.
  Aller hop au boulot, c'est sans tarder que tout me monde trouve ça place au travail. Seul les murs sont monté, ce son des plaques bétons d'un mélange de pierres volcaniques construit ici même en Équateur,écologique et très isolantes, ces plaques font environs 50/100 cm et pèse 50 kilos. Taillé de façon à ce quels puissent s'empiler facilement comme des legos. Mais si la simplicité des matériaux ce présente sous leurs yeux, la munitions de tout ce qui est à faire rend les tâches plus longue qu'elles ne paressent.. Fabrication de ferrailles pour l'assemblage du chaînage, qui est ensuite lié par de petits fils de fers, pour pouvoir coffré sur mesure et ainsi coulé du béton, et oui ont rigole pas sur la solidité de ce nouveau type de construction pour CIA. Ils travailles ICI et aussi AILLEURS, sur une autre maison où ils posent le 3ème étages de blocs. Il faut 4 étages de blocs, avant le montage des blocs pour le pignon, afin de créer un toit à 2 pentes..
  Malgré un ciel couvert et un soleil inexistant, la chaleur est intense. Fini le temps où ils réclamaient le soleil, aujourd'hui ils souhaitent tous la pluie. L'après-midi leurs souhaits s'exsose puisqu'il se met à pleuvoir (enfin si ont peut appelé ça de la pluie !!), car les rares goutes qu'ils tombes, sont aussitôt évaporées. Ils travailles toute la journée, sur les 2 chantiers afin de pouvoir voir le maximum de choses dans des étapes différentes, et pouvoir apporter leurs aides ici et ailleurs..
  En fin de journée, tandis que les hommes bossent encore, Margot et Cécé se sont trouvé une joueuse troupe de bambins, qu'elles amusent.. Fin de chantier, tout le monde est satisfait et ce dit à demain pour continué cette entente et réussir du bon travail. Le soir venant, l'habitude est déjà prise, car c'est au resto (qui n'est pas un resto d'ailleurs.!!), qu'ils ce retrouvent pour manger un repas à base de poissons et fruits de mers (nourriture de tous et de chaque repas, sur les côtes de l'Equateur..).
 
 

07/01/2017
"Des liens au travail"

  Petiteetite routine matinale, dès 6 heures 30 CIA accompagne César pour une tournée des chantiers, avant d'arriver au leur. Aujourd'hui toute l'équipe exerce le même travaille, qui consiste à talocher les joints des murs pour un aspect droit et propre. Les 3 ouvriers (Antonio, Limonese et Maestro), sont ravis de leurs présences, puisque de leurs côtés ils peuvent avancé d'avantage sur la maison. Même le futur propriétaire, fait des compliments sur la qualité de leur travail. Le matin sous un ciel couvert en haute temperature, comme l'après-midi sous le soleil de plomb, c'est la même tâche qu'ils répètes. Une ambiance décontracté et joyeuse règne sur le chantier.. A la pause, avant de joué avec les enfants de la rue, les 4 bosseurs mangent chez la famille, qui vit actuellement sous un abris de misère, fait de bambous et simple bâches. Cela forme une petite pièce seulement qui est aménager en cuisine et chambres, où vivent un couple, avec ces 2 enfants et leur grand-mère. Des gens adorable, dont le mari pêcheur part en mers la moitié de sont temps.. Un petit lien sait déjà créer, mais malheureusement CIA ne reviendra pas demain, car ils doivent monter sur "Esmeraldas", pour tenté de mettre d'autres projets en route..
  Un retour plus tard, ça c'est ce qu'ils souhaitent tous, revenir vite dans cette petite ville où la sympathie y est bien présente. Contrairement à la capitale, ici les gens sont très accueillant et extrêmement poli. Même parfois ont peut obtenir un sourire pour rien. Car l'Equateur n'est pas un pays qui a le sourire facile, il faut le chercher, mais une fois l'alliance faite, le discours et la gentillesse suivent naturellement.. Le soir venant, un bon repas en compagnie de César pour leurs dernière soirée à "Jama".