Équateur

- 31/12/2016 - (suite)
"Jour de l'an"

  Ça y est, c'est vers 18 heure que CIA vient de posé pieds en terre Équatorienne ~ Yallaaa !!! Récupération des bagages et hop ils saute dans un taxi qui les attendaient, pour "La Mariscal" (quartier animée de Quito, où l'ambiance nocturne de la fête y est constant).  Idéal donc pour passer le jour de l'an, et où CIA a réservé un studio, histoire de profiter pleinement de ce jour de fête, comme tout le monde.. La route de l'aéroport au centre de Quito, surprend l'équipe par ça propreté et l'aspect ressemblant au États-Unis, avec leurs larges autoroutes, les taxis par centaines, la police très présente, les camions énormes.....

  Arriver au logement en début de soirée, et suivit d'une brève pose après avoir déposé bagages, ils partent à la conquête des rues festives. C'est au coeur de La Mariscal qu'ils vivent pleinement la fête, déjà les feux d'artifices exploses un peut dans tous les sens. La coutume veut que les personnes construisent des marionnettes grandeurs nature leurs représentant, puis à minuit, c'est eux même qui mettent le feux à leurs marionettes espérant brûlé le mal qui ont été durant l'année passé et ainsi repartir sur une nouvelle pleine de bon sentiments.. Tout ce rituel est orné par les feux d'artifices, déguisements mélangeant les masques souriants et horreurs. Arriver à l'heure ultime, minuit l'ambiance devient folle, tout le monde s'excite, les pétards exploses de partout, les marionnettes flambés dans différents feux de joie, que les gens s'amusent à emjamber d'un saut, seul ou à plusieurs, fesant crié la foule.. Une communion de joie, réunissant petits et grands, vieux et jeunes, locaux et touristes, tous réuni pour accueillir 2017 dans la fête.

  Vivant ces beaux moments parmis les fêtards, c'est avec un sourire comblé que CIA se beigne déjà dans l'euphorie Équatorial. Mais la fatigue gagne chacuns et une nuit plus que nécessaire les attend, dans leur petit grade ciel, au milieu des rues festives..

- 01/01/2017 -
"Dimanche visite"

    La nuit a été bien reposante, le réveil doucement se fait avec les bruits de la ville qui ce réveille également. Ce matin le soleil joue avec les nuages, et donc le soleil fait des apparitions chaque heure, qui accompagne le levé à chaque fois le levé d'un membres de CIA.

  Après un petit déjeuner rapide, les voyageurs partent à la découverte de la veille ville de Quito, passant la journée à flâné tranquillement dans les rues désertes, où les rideaux de fers des magasins sont fermé.. Ils passent au travers de petits marchés en tout genres, découvrant ainsi les couleurs et saveurs local. Passage de parc en parc, où le calme règne. Puis visite de la Basilique "Del Voco Nacional", ce monstre néogothique culminant à 117 mètres, qui a la particularité d'avoir des gargouilles en formes d'animaux de l'Equateur (iguanes, tamanoirs, singes, pumas, crocos et bien entendu tortues des Galápagos). La ballade ce poursuit dans les rues colorés, qui nous font oublier que l'ont ce trouve dans la veille ville, seulement les détails architecturals rappel la vieillesse de l'endroit. Puis ils arrive en début d'après-midi, à la "Plaza Grande", où là population ce fait plus dense, les gens vivent au ralentit, écoutant des guitaristes ici et là, ou d'autres petits groupes poussant la chansonnette, animant les lieux..

  De plus en plus de monde se retrouve dans les rues en milieu d'après-midi, s'en doute après avoir émergé de la courte nuit du jour de l'an. Petit retour vers le logement, où la population et l'animation à changé et fait vivre les parc naturels..

  Pour voir le couché de soleil, ils grimpent tous sur le toit de l'appartement, où a été créer un espace détente pour admirer le panorama a 360°. Vu exceptionnelle sur les toits de la ville, maisons colorés, entouré de montagnes et volcans. Face à eux, la statue "Virgen Del Panecillo" perché au sommet d'une colline. Petit moment de plaisir avant qu'ils ce posent dans leur logement, pour une soirée calme autour d'un bon repas.

   -02/01/2017-
"Préparation au travail"

  Aujourd'hui, les programmes ont quelques peut changé, puisque normalement un rendez-vous avec un constructeur de maison "Mia", avait été prévu ce matin, mais le constructeur est retenu sur un chantier et donc a repousser l'entretien à demain. Donc en attendant, l'équipe s'organise pour être prêt à partir sur Esmeraldas, ville touché par les séismes où va ce mettre en place les premiers projets. Ce matin, c'est à la recherche de la station de bus que partant les gars, puis trouver un nouvel hôtel (loin luxueux, et oui fini le jour de l'an !!)..  Téléphone local en poche, contacts des personnes à rencontré enregistré, carte du pays et les questionnements qui traverse les esprits des futurs vadrouilleurs est mis en communs, pour une bonne alliance lié, afin d'avancer dans la même direction..

  Après ces remues ménage dans les idées de tous, et d'avoir profité jusqu'à la dernière minute de leur studio de rêve, ils ce dirige vers leur nouveau logement, au coeur de la Mariscal. S'en suit alors une promenade dans le plus grand parc naturel de la ville, qui est équipé de terrain de sports en tous genre et aujourd'hui envahit de monde, qui ce traine, ballade, joue et s'amuse, tandis que d'autre se repose à l'ombre, car le soleil cogne entre les nuages, et déjà CIA a pris des couleurs, car ici à l'Equateur la couche d'ozone est faible, donc le soleil menaçant..

  Puis en fin d'aprème, un retour dans la Mariscal pour profité des saveurs du pays, qui est toujours aussi calme depuis leur arriver. Enfin, ce soir ça ne traine pas trop, demain le rendez-vous avec le constructeur est de bonheur et donc le levé ce fera à l'aube, pour être frais, prêt à débuté mettre en place les projets volontaires.

-03/01/2017-
"La rencontre"

Ce matin dans les kiosque de Saint-Sébastien-sur-Loire sort l'article de Ouest France : "Partis en Équateur pour aider à la reconstruction" :

   Maxime, Céline, Margot et Reno, avant leur départ pour la Province d'Esméralda en Équateur, aux côté de Thomas Estupiñan (à droite), président de l'association Solidarité France Équateur. Le 31 décembre, quatre jeunes sont partis pour trois mois participer à la reconstruction dans la province d'Esméralda, sur la côte ouest du pays, qui a souffert du séisme du 16 avril.
Pour retrouver l'article complet rendez-vous sur : http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-sebastien-sur-loire-44230/

( Pendant ce temps en Equateur :)

  Aujourd'hui la ville a reprit ces droits, la circulation, le bruit, les gens, les activités, les commerces et les travails en tout genre.. tout est vivant et en accéléré après ces jours de fêtes calme et un peut "mort". Le vrai visage de Quito apparaît enfin aux yeux des nouveaux visiteurs..
  Après un petit déjeuner copieux, CIA à rendez-vous en dehors de la ville avec la société "Casa Mia", constreur de maison écologique préfabriqué. Pour plus d'info, aller faire un tour sur leur site :  http://www.casamia.com.ec/
  Déjà en contact avec Tomas, pour un projet de construction de maisons à Esmeraldas, César (le gérant de la société), accueille CIA dans son bureau de bonne heure, afin d'établir un premier contract. Il passe donc la mâtiné ensemble, afin de voir les différents aspects du projet, les modes de construction et la négociation.. Un moment important qui débute le lancement d'une grande et belle réalisation. Mais pas trop vite, rien n'ai signé pour le moment, avant d'être sur d'aboutir à quelque chose de concret. César et CIA, se retrouverons donc jeudi pour un départ sur des chantiers en cour de construction, pour voir les choses en vrai et ce s'imprégner d'avantage dans l'aventure.
  De retour sur Quito le midi, et bloqué ici jusqu'à jeudi, CIA profite de ces instant pour ce plongé dans la culture Équatorienne, et ce balade à travers les marchés artisanales, avant de ce posé en fin d'aprème pour faire le tour des questions et raisonnements des événements à venir..

 -04/01/2017-
"Un beau perchoir"

  Pourour tué le temps, car impasciant d'arriver sur les chantiers, mais un peut bloquer pour le moment, après avoir réalisé que leur mission ici ne serait pas si simple malgré leurs motivations et engagements, tout est à faire. Mais c'est à partir de demain qu'il pourront vraiment faire bougé les choses. Pendant ce temps donc, CIA décide de prendre un peut l'air et de quitter Quito pour un coin de nature.
  Réveiller à l'aube, ils se dirige vers l'ouest de la ville, où se trouve un téléphérique qui permet de prendre de la hauteur sur le flanc du volcan "Pichincha". La haut, une vue spectaculaire sur me paysage andin de Quito. Une fois la haut, il passaient flâné la mâtinée, mais l'appel de la montagne les à emporté à la rando..

  Au départ tout mes quatres partis d'un bon pas, ils montent la montagne, pour admirer d'avantage la vue sur ma ville et ces environnement montagneux, embrumés par les nuages. Endroit magique, impressionnant tel un décor de film. Puis Margot pris par le mal des montagnes, abandonne vite la grimpette. Plus loin ces autour de Cécé de lâché prise, au vu de la dureté du parcourt. Les mecs, eux, continue l'assenssion aspiré par les sommets qui les nargues de leurs hauteurs. Durant une courte passe à admiré le paysages, un petit aigle se posa à quelques mètres d'eux, leur offrant un moment majestueux. Observant ensuite la difficultés à venir, des montagnes rudes et rocheuses, et ce regardant mutuellement (short, tee-shirts et surtout tongs aux pieds..), et oui ils avaient pas prévu de randonné; ils décidèrent tou de même de continué..
  Pendant que les filles, redescendu profitaient de la vue du bas, les "montagnards" commencèrent la difficultés, aussi bien à causse des chemins arpentueux que le manque d'oxygène, qui les obligent à faire des pauses très régulièrement, le coeur palpitrant et la tête vibrant. Mais comme si c'était facile, le froid s'ajoute à la difficulté s'approchant des 5°, comparé au 20° du départ !!! Faible, impressionnant les randonneurs bien équipé qu'ils croissaient, avec un demi litre d'eau en poche pour deux, c'est rassasié mais satisfait qu'ils atteindes le début de la crête de la "Rucu pichincha", culminant à 4784 mètres d'altitudes. Les deeniers mètres pour atteindre le sommet est fait pour les escaladeurs, où les personnes mieux équipé que les deux inconscients fous de hauteurs. Ici la vue est à coupé le souffle de tout côtés, mais la fraîcheur des sommets ne les attardent pas en ce lieu impressionnant.
  Pour redescendent plus vite, ils prirent les traces d'éboulements, glissant comme au ski, mais sur les tongs.. Au milieu de la montagne, ils rencontres un jeune chien, seul. Il les accompagne dans la redescente un bon moment, avant de continué ça vie dans les chemins montagneux.
  Arriver en bas et fier de leur parcours, ils rejoignent les filles rester en bas dans une légère inquiétude. Puis de retour en ville en fin de journée, c'est vidé qu'ils se posent tous, reposant leurs corps et leurs esprits. Courte la soirée qui suit, puisque demain c'est à 5 heure que leur départ est prévu avec l'architecte.