Népal

Namasté

Du 23 octobre au 01 novembre : 10 jours

-23/10/2015-

"Retour au source"

Ce matin le réveil est difficile pour tous le monde, mais l'énergie est commune pour ce retrouvé très tôt M&Cc et nous, pour un départ de la guest-house. Nous partons à la découverte de rues encore inconnue pour nous, où nous nous fesons accosté par un villageois heureux de nous voir ici présent, en période de festival.. Nous lui demandons notre chemin pour trouver une rue bien précise que nous voulions voir. Ne sachant pas nous donner de réponse et du coup embêté par la situation, il nous invite à le suivre pour nous offrir un thé dans un troqué du coin, avant de disparaître. Nous réalisons avec surprise, que l'endroit qu'il avait choisi de nous emmené était en faite la rue que nous cherchions au départ..
7 heure passé, nous nous dirigeons chez Ousuel, pour reprendre un thé en famille. Reno, Max et Ousuel s'éclipse un instant pour faire l'achat de 200 à 300, cahiers, stylos, crayons et autres outils scolaires en prévision d'un futur don, destiné à l'école de Baluwapati (là ou nous avons réalisé la maison en sac). Les bras chargés d'offrandes, et l'équipe au complète (nous, Ousuel, David et M&Cc), partons dans une joie commune, en direction de la gare de bus, pour quitter Bhaktapur et ainsi rejoindre Baluwapati. En chemin, nous passons devant l'hôpital où nous avions déposé les dons médicale, nous nous arrêtons rapidement, pour réalisé un bref entretien avec trois médecin, et du coup leurs expliqué cette offrande, qu'ils sont enchanté d'accepter et même gênés de tous prendre, vu la quantité bien complète des dons. (Encore MERCI à vous)..
Nous embarquons ensuite sur le toit d'un bus pour nous conduire à Nagarkot (le dernier village où ce trouve un arrêt de bus avant Baluwapati). Après une bonne heure et demi de route (11H30 environ), nous fesons une halte dans un restaurant, avant de poursuivre notre voyage à pieds. Une heure de marche suffise à rejoindre le village, et ainsi retrouver avec une joie intense notre chantier, qui depuis a pris de l'ampleur. Nous retrouvons rapidement nos habitude, et donc un thé au petit resto du village, ce devait obligatoire. Fermé en ce moment, pour cause de festival, il ouvre aussitôt en apercevant nos silhouette. Après avoir récupéré nos forces en buvant du thé, nous nous retrouvons sur le chantier de la maison en sac, pour commencé à travailler. Un toute autre travail nous attend que celui exercé lors de notre dernière venues, car l'installation des sacs étant terminé, nous réalisons la fixation de bambous, entourant la maison, qui permettra plus tard d'accueillir le toit en tôle. Nous travaillons jusqu'à la tombé de la nuit, pilans des caillasses des les trous où ce trouve les bambous. Un travail très rude pour commencé..
Le soir nous sommes invité chez une famille du village, où nous dînons un plat traditionnel, que même Ousuel ne connaissait pas. Après plusieurs assiette engloutie, nous goûtons le Dino, un repas bien consistant qui est avalé avec plaisir, tout en buvant du roksy, pour fêter le dernier jour du festival de Dashain. Par la suite, les filles (Margot et Cécé), sont invité à dormir chez la famille en question, avec la femme et les enfants, ils ne finissent donc pas très tard. Les gars (Reno, Max, Ousuel, David et le mari de la famille), rejoindre le tipie pour passer la soirée entre bohommes. En route ils passent devant l'école, où les enfants de l'école de dansent répète leurs chorégraphie. Nous nous arrêtons pour observé leurs pas de dansent, qu'ils réalisent tous avec minuties. Nous finisont tous par danser ac eux, avant de rejoindre le tipie, pour une première soirée au village, très arrosée.

-24/10/2015-

"Des nouveaux bénévoles"

Ce matin, après un réveille plutôt costaud pour certains, nous nous retrouvons tous au resto du village, pour y boire le thé. Par la suite, nous consacrons la mâtiné à la recherche de bambous, pour finir la structure de la maison. Nous partons donc à l'opposé de village, dans une forêt de bambous, pour coupé 6 pieds, et ainsi les transporté jusqu'à la maison, pour finir la mise en place de la structure bambous, pendant que Manissa, dessine sur les murs de ça futur maison..
À la pose du midi, nous avons la visite de Chiva, un gérant de l'association qui nous annonce, l'arriver ce soir de 3 nouveaux bénévoles (un Hollandais :"Denise", une Norvégienne :"Iggy" et un autre Anglais :"Jessy"), plus l'arrivée demain de 4 Népalais, qui s'occuperont eux d'installer le toit. Suivant les volontés du chef,  nous passont l'après-midi, à nettoyé le site où ce trouve la maison, et refaire un sol droit, aussi bien dehors que dedans.
Le soir arrivant, nous installons un deuxième tipie pour les nouveaux bénévoles. Chiva est toujours la aussi, et après un bon dalbat pris ensembles au restaurant, nous retrouvons les tipies, pour une soirée encore plus animé que la veille. Nous réalisons un barbecue pour cuire un poulet, puis nous terminons à 6 (les nouveaux se couche assez vite), à 5 heures du matin, après avoir tous danser, toute la nuit.

-25/10/2015-

"Du travail pour tous"

Deux heures de sommeil après, nous nous retrouvons au resto pour déjeuner tous ensembles, avant de se retrouver notre maison de sac. Nous sommes donc 14 personnes, aujourd'hui à travail sur le chantier. La journée ce place plutôt bien, et chacun trouve ça place, ils y en a qui s'occupe du toit, pendant que d'autres finissent de fixé les derniers bambous, où même commencé à réalisé le torchis intérieur de la maison. La journée est assez raide pour tous le monde (surtout sur la fin), étant donné les peut d'heures de sommeil accumulées..
Le soir arrivant, nous sommes de nouveaux convié à passé la soirée chez la famille qui nous avaient accueillie à notre arrivé il y a 2 jours. Avant le repas, la famille nous montre leur toute nouvelle maison, qu'ils sont en train de finir, avant de pouvoir être habité. Nous dînons ensuite tous ensembles dans le calme, et entouré par une fatigue commune. Non tard ce soir, les retour aux tipies pour des dodos souhaitez rapide dans l'ensemble..

-26/10/2015-

"Le torchis"

La nuit a été reconstructeur pour tous le monde. Et toute l'équipe, plus que 11 personnes maintenant, nous 6, les 3 nouveaux qui bossent super bien, puis plus que 2 Népalais. Aujourd'hui c'est torchis à l'intérieur de la maison, ce matin chacun avait ça technique pour mettre en place la terre sur les murs, avant de ce mettre d'accord sur une même façon de faire. Ce travail est le plus facile, il suffit de faire des boulettes de terre humide et de les projetées contre les faces des murs, d'abord dans les raynuires entres les sacs, puis un recouvrement total des façades. Un autre travail est plus raide, c'est la fabriquation du torchis, un peut comme ont fait du cimentl'ont à la main, sauf que l'ont fini de mélanger avec les pieds. Puis un autre travail est là vraiment dure, c'est celui de l'approvisionnement en terre, mais pour trouver de la bonne terre il faut aller la chercher dans la montagne, à environ 100 mètres, ainsi que l'eau, dont la source elle ce trouve à 50 mètres et est également dans la montagne. Ça paraît de rien ça, mais c'est vraiment rude de faire des aller-retour chargé d'eau où sac de terre bien chargé..
Ce soir, nous fêtons le départ de Jessy, (l'Anglais arrivé il y a 3 jours). Pendant que nous dînons au petit resto du village, 4 amis d'Ousouel débarque par assard. Il réalise un trek entre amis, avec comme seul bagage une guitare. Nous passont donc un moment agréable, à écouté leur chanson Népalaise, tout en mangeant. Parla suite, nous finissons tous au près du typis, où Jessy c'est emparer de la grate et joue tout la nuit, autour du feux, où chacun d'entre nous chante diverses chansons, au départ des classiques, pour finir sur des chansons que nous inventons tous ensembles. Un moment vraiment génial, où une fois de plus la joie été maître des lieux.

-27/10/2015-

"Ta torché le torchis"

Ce matin à été dure dure pour tous le monde, et nous nous réveillons assez tard (coucher à 5 heure, levé qu'à 8 heure). Nous trainnons au petit déjeuner, avant de vivre un petit moment émouvant, le départ de Jessy. Le temps de ce mettre au travail et trouvé la motivation nécessaire, pour enchaîné l'application du torchis à l'extérieur, toute la journée, étant donné que la première couche de l'intérieur été fini. Nous réalisons 3 faces de la maison, sous un cagnard difficile à subir. Pour l'approvisionnement en terre elle ce fait de plus en plus loin pour réussir à en trouvé de la bonne. 200 mètres environ, et de plus en plus bas dans la montagne, les volontaires pour ce taf se fond donc de plus rare. Nous sommes tous content de notre travail malgré la fatigue, en voyant le soir la maison qui commence vraiment à prendre de la gueule.
Satisfait, nous rentrons pour une soirée qui ce veut calme pour tous. Les filles ont remarqué une petite boutique de tissu au village, et avant d'aller dîner prennent commande pour la réalisation d'une tenus traditionnel, taillé sur-mesure qui leur coûtera 400 roupies (environ 4 euros) en tout et pour tous. Après une bonne soupe, nous trouvons le sommeil parfait, bercé par la fatigue, tous le monde ce laisse très vite emporté dans le royaume des rêves..

-28/10/2015-

"Manissa va à l'école"

Aujourd'hui c'est la rentrée des classes, et donc un grand jour pour nous mais surtout pour Manissa. Nous partons toute notre petit équipe avec Manissa, après le petit déjeuner vers 9H30, sachant que l'école ici commence à 10 heure. Nous traversons le village tous ensembles, Manissa est très heureuse et comble notre trajet de sourires communicatifs. L'école ressemble au clapier à poules de France, des casses de 15m² environ, fabriquer en tôles ondulées formant des classes, les unes à la suite des autres et représentant 6 classes + 2 autres pour l'administration et débarras. David à décidé de payé une année de scolarité, à Manissa, comprenant l'uniforme, cahiers, stylos et même la nourriture du midi. Un rêve pour un enfant Népalais, qui savent la chance qu'ils et ce montrent très sérieux dans leurs études. Nous profitons de cette occasion pour réalisé notre dons de fournitures scolaires (entre 200 et 300 cahiers, stylos, crayons..etc, et même des ballons). L'émotion est à sont combles pour tous le monde, surtout au moment de partir pour nous et de laisser Manissa, qui est déjà intégré parmis les enfants..
Pour nous ces l'heure de ce remettre au travail, et de finir la première couche de torchis, avant d'entreprendre la seconde couche, qui est un mix de terres, eaux, pailles et....merdes de vaches. Humm que du bonheur, mais cette deuxième couche représente l'avantage de s'appliquer très rapidement, et d'avoir un rendu sur le final, qui approche à grand pas..
C'est l'heure de la fin de l'école, et David, Margot et Cécé s'absentent du chantier, pour aller la chercher. Ils assistent au dernières ainstant de la fin de l'école, où les enfants ce livrent à une petite cérémonies de salutations, puis remise correcte de leurs costumes, avant de pouvoirs partir..
Côté travail, la journée à été couvert niveau météo, et donc la fatigue n'apparaît pas. Nous travaillons sans relâche, pour finir même à la frontales, ne voyant pas la nuit tombé. Une bonne journée, remplis d'émotions et de merdes étalées..

-29/10/2015-

"Journée pluvieuse"

Ça devait arrivée, voilà notre première journée de pluie. Réveiller vers 3 heure du matin, par un orage bien ciblé au dessus de nos tête, il apporte avec lui une pluie intense, qui ne tarde pas à inondé les tipyes. Nous essayons de nous regroupés ainsi que les affaires pour le moments épargné au milieu des tipyes. Nous constatons avec dégoût, l'étendu des affaires trempé (sans veritable casse) au petit matin, sous une pluie toujours battante. Nous avant tous du mal à trouvé la motivation pour sortir du lit, tous en boules dans nos sacs de couchages.
Au petit déjeuner nous apercevons Manissa, déjà prête pour l'école, attendant sous son parapluie, la maîtresse qui doit passer la prendre (ainsi que d'autre élèves), à pied dans le centre du village. Au niveau chantier y a du changement aujourd'hui, pour commencé David et Denise partent tous 2 à Bhaktapur, pour la journée, pour s'approvisionner en peintre pour la finition de la maison. Et dans un deuxième temps, les 2 Népalais qui été venues nous donné mains fortes depuis quelques jours, ce sont fait virée par Ousuel, pour quelques abus qui de jour en jour a fini par énervé tout le monde, nous travaillons donc en petite équipe de 6, et c'est vraiment pas plus mal.. Les gars partie en virée toute la journée, rentrèrent dans la soirée et ont a fini tous au bord du feux, hallucinées devant les histoires hilarantes de David.
PS : "Nous apprenons que la situation du pays n'a pas changer au niveau du blocage et donc que le Népal a changer de président hier, et c'est une femme qui prend la tête du pouvoir."

-30/10/2015-

"Nature étrange"

Réveil dans les nuages, où ne nous voyons plus aucunes montagne à l'horizon, il est même impossible de voir le village pourtant pas si loin, et de distingué à peine les typies à 200 mètres. Des vagues de nuages, ils en passera toute la journée changeant les décors de secondes en secondes, à faire flotté les montagne parfois, le soleil rendant juste les sommets visibles. Ma-gni-fique !!
Ce fût une petite journée de boulot, où les finitions étaient à l'œuvre, un lissage complet du torchis fût fait, ainsi que quelques bricoles. Nous avons retrouvé notre petit rayonnement de sourire et ouvrières (Manissa), dès midi sur le chantier, étant donné que l'école se termine le vendredi midi.
La soirée ressembla beaucoup à celle d'hier, toujours au bord d'un feux, avec un spectacle en plus, le ciel. Non pas les étoiles, mais de petits nuages ne se touchant pas, laissant passer quelques étoiles par-ci par-là, éclairé par dessu par une lune intense. Ces petits nuages bougeant lentement dans le décor sombre de la nuit, forme et déforme d'étrange choses que notre imagination ne tarde pas à créer des images fantastiques, du sourire à l'inquiétude.

-31/10/2015-

"La débauche"

Ça y est, c'est le dernier jour de travail. En ce reveillant, nous pouvons admirer l'himalaya, qui ce découvre pour la première fois depuis notre retour sur le chantier, c'est l'occasion pour Max&Cécé, de connaître ce spectacle que l'ont racontaient depuis le début. Un dernier jour qui commence très bien. Ce matin c'est plutôt roots, tout le monde est au ralenti. Pour ce dernier jour de travail, nous avons la chance de retrouver Manissa toute la journée avec nous sur le chantier, étant samedi, elle n'a pas école. Aujourd'hui c'est peinture des bambous, porte, fenêtres, et petites finitions sur le torchis qui touche à ça fin. La journée ce déroule au ralenti, et tout le travail prévu est accompli, c'est chouette de voir la maison toute belle, coloré de bleu et rose (oui oui rose, une petite erreurs au moment de la commande qui rend la maison toute mignonnette). Nous sommes tous satisfait et un peut fier de notre travail, ça y est la première maison en sac du Népal est pour le peut fini, ce fût une belle expérience, qui ont l'espèrent prendra suite dans de nouvelles constructions du mêmes types et comblera peut être un jour les montagne du Népal, de ces maisons solides, prêtes à faire face au caprices de la nature..
 Le soir venant, nous dînons tous au restaurant habituel, au la fête commence déjà, nous sommes tous la, Manissa et son père son présent, ainsi que toute la famille de Bichnou (la famille qui à accueillit chaque volontaires à venir passer au loin une soirée chez eux). Les fous rires sont constant, les annectotes fusés dans tout les sens, un bordel heureux. Pour l'occasion, nous tuons 3 poulets, et mangeons comme des rois. C'est le moment pour Margot et Reno de remercié David pour sont beau projet arrivé à terme, et cette magnifique expérience humaine, vécu ensembles et nous lui offrant en petit cadeau, un gericanne de 20 litres rempli de Rocksy, pouvant être glissé dans les porte-bagages arrière de ça moto. Nous poursuivons la soirée chez Manissa, où une teuf durant toute la nuit ce déroule, nous dansons, chantons et buvons du rocksy à plein, renversant la moitié de nos verres sur le sol, pour bathème de la maison et ainsi réalisé un sol en terre battue parfait.. Une dernière nuit festive inoubliable, où chaque bâtisseurs, ont gravés leurs empreintes sur un mur. Nous avons fini par y dormir à même le sol, et profité du confort de cette maison "luxueuse"..

-01/11/2015-

"Départ en trek"

Ce matin, réveil en musique. Après que la grand-mère est pris conscience, qu'elle pouvait profité de la maison (trop adorable, son sourire n'avait jamais été aussi immense), le père de Manissa arrive avec un instrument tradionnel (style djeumbé tous fin), et commence un rituel musicale, d'abord autour de la maison, puis y pénètre, là où dorment encore quelques fêtard. La percussion tourne en boucle, et les chants également, il exerce avec l'instrument des petites rotations touchant une foi le sol de la maison et une autre foi il lève l'instrument au ciel. Ce rituel dure au loin une demi-heure, ne cessant de jouer et de chanter constamment la même chose. Un moment unique vécu au réveil, qui plonge l'atmosphère de la maison dans une étrange ambiance. Cette cérémonie se poursuit par le sacrifice d'un poulet, rependant son sang sur le haut de chaques ouvertures de la maison (porte et fenêtres), et pour finir créant un petit édifice de prière au cœur de la maison..
Suite à cela, c'est à notre tour de faire nos bagages et réalisé un grand coup de ménage de la nature que nous avions skouaté durant les travaux. A midi, nous grignotons tous ensembles le poulet qui a été sacrifié, préparer par la grand-mère, avant de passé aux aurevoirs à jamais pour certains, à plus tard pour d'autres, remplis d'émotions..
Pour nous, c'est enfin les vacance, nous partons donc Reno & Margo, ainsi que Max&Cécé pour un trek à travers les montagne de Balowapati. Nous réalisons un trek de 4 heures, au milieu de la montagne, prenant parfois les routes, d'autres fois les chemins conseillé par les villageois. Un super trek, où la promenade à parfois virée à l'aventure, avec des passages où le se demandaient si il y avait vraiment des personnes à passer par là. Dès foi la chaleur était bien présente, mais la chaîne de l'Himalaya en vue nous fait avancé sans même sans rendre compte, à tel point que nous avons poussé le trek plus loin que prévu, où nous sommes tombé par assar dans un village où l'aide serait la bienvenue, ayant 40 maisons détruites. Nous prenons contact avec un villageois pour peut-être de futurs projets en vue. D'autres fois la fraîcheur nous entoure, quand nous nous retrouvons dans des creuvases où l'humidité rend la nature vert fluo. Nous traversons également quelques jardins de maisons, où les habitants exerce en ce moment même la récolte et le trie des pieds de cannabis. Nous terminons ce trek par une partie vraiment aventureuses, où les dangers nos entourés, mais qui nous permet de rejoindre un immense hôtel, à flanc de falaises. Épuisé, nous décidons de prendre une nuit dans cette endroit magique où la vue est époustouflante, dans un luxe total, malgré les prix élevé des chambres. C'est une belle récompense pour notre dur travail réalisé..