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Népal
Visite des chantiers
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- Le 16/12/2015
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Namasté
Du 08 au 14 décembre : 7 jours
-08/12/2015-
"Retour au chantier"
J-10 : Fini les vacances, c'est reparti pour un tour. Ce matin obliger de courir partout dans Katmandou pour la préparation de notre nouveau projet. D'ailleurs dans les rues du centre non-tourisque s'y est installé des grands marchés de couvertures, couetes et vêtements chauds pour passé l'hiver, un certain lien avec notre idée qui nous conforte dans notre lancé prévu déjà depuis un mois. Bref, une fois prêt nous quittons la ville vers midi, pour une 3ème journées de bus qui nous épuise durant 4 - 5 heures, pour rejoindre Khadichaur (la ville où se situe notre construction de maison).
A notre arriver nous retrouvons notre petit frère Ousuel. Nous trinquons ensembles à nos retrouvailles, se racontant chacun nos aventures vécus et combien ça présence nous manquaient chaque jour. Nous rejoingnons ensuite le chantier, où la surprise de l'immensité de la maison qui a vraiment bien avancé, puisque les murs sont fini, la première couche de torchis étalé et la construction des bastins pour la toiture est en pleine réalisation...génial donc !!!
La nuit est déjà tombé et donc nous retrouvons tous les travailleurs autour du feux, pour boire de bon verres de Roksy. Ils sont 8 dont 5 nouveaux volontaires, reste Adam, Calie et Seb (le Breton) que nous connaissions bien et très content de se retrouvé là, comme si l'ont n'étaient jamais vraiment partie.. La soirée se passe bien et comme à l'habitude s'éternise jusqu'au bout de la nuit.
-09/12/2015-
"L'organisation"
Dès le réveil nous descendons en ville pour mettre en place notre futur projet et donc négocier au mieux nos achats, pour satisfaire le maximum de personnes. Notre volonté est de réaliser une distribution de couvertures, au victimes des séismes qui vivent dans la région la plus touché, où nous nous trouvons, celle de Sindipalchoc.
Les négociations fût longues, mais la compréhension des vendeurs à été plus que généreuse, et donc nous arrivons à tombé d'accord avec une vendeuse, qui ces occupé de notre grosse commande, en allant chiné chez tous ces concourants afin de regroupé notre dû. Elle a été adorable avec nous et n'a pris qu'une marge infime au vu de notre souhait d'aider, elle nous invitât même à déjeuner chez elle, puis fini en beauté en contactant sont frère pour qu'il nous sert de transporteur le jour de ma distribution. Un programme mis en place à la perfection, qui ne peut que bien ce dérouler..
Midi nous retournons au chantier, où toutes les mains de travailleurs volontaires sont en action, à l'intérieur comme à l'extérieur de la maison pour un travail efficace. Nous ne garçons pas à nous changé pour les rejoindres et ainsi continuer les finitions de ce château, qui se veulent interminable, mais obligatoire pour réalisé un solide et merveilleux endroit de vie. Sur le chantier, nous réalisons la lassitude des bosseurs qui sont là depuis le début, mais les échanges d'humours, font que malgré un travail rude tous ce passe dans une bonne ambiance..
Est-il nessecaire de vous raconter comment cette journée se termine ? Comme à sont habitude, autour du feux.
-10/12/2015-
"Distribution de chaleur"
Ça y est nous sommes prêt pour notre dernière mission. Dès notre réveil nous rejoingnons notre pilote et son pik-up, qui va nous balader toute la journée afin de distribué des couvertures. Nous recuperons donc en ville notre commande de 200 couvertures :
- 150 couvertures familiale, où il peuvent dormir jusqu'à 5.
- 50 couvertures d'enfants, pour les familles plus nombreuses.
Notre chargement est installé à l'arrière du pik-up et nous grimpons également avec, où l'ont s'installent sur les big bag remplit de couvertures. Nous partons pour 2 heures de route, pour retrouver Tatopani, à la frontière du Thibet. Nous avons choisis cette destination pour plusieurs raisons, d'abord parce que c'est la région de l'épicentre du séisme, donc le coin le plus touché par les éboulement et destruction de maison, ensuite car cette vallée est plus haut en altitude donc les nuits plus froide et la journée ils ne voyes que très peut le soleil étant enclavés entre les hautes montagnes, et enfin les villages choisis sont extrêmement retirés des villes et donc ont moin de chance d'accéder au confort.
Ce matin il fait bien froid et donc nous nous enroullons dans les couvertures le temps du voyage. Arriver à Tatopani, petit thé avant de commencé et ces partie pour une journée d'offrandes qui n'aurai pus voir le jour sans votre générosité, ont ne vous remerciera jamais assez..
MERCI !!!
Notre premier arrêt ce fait dans un village totalement ravagé par un éboulement, où aucune maisons n'a été épargné et nous sommes extrêmement surpris de trouvé de la vie ici. Peut de famille vivent encore dans ce décor apocalyptique, nous trouvons quand même 4 familles qui survivent entre les murs de leurs maisons qui tiennent debout par miracle.
Le long de la route nous réalisons plusieurs arrêts pour réalisés des dons aux personnes travaillants dans les champs à flanc de montagne, dont les maisons sont situés plus en hauteurs. Les habitants nous guide parfois, pour nous dire où trouver des familles dans ces lieux devenus désert.
Nous reperons également un village perché dans la montagne dont les maisons sont faites uniquement de tôles. Pour y accédé nous devons traversé la rivière sur une petite passerelle en bois, bougeant dans tout les sens. Un bon paquet de couverture sur les épaules chacun, et nous voilà partie à la découverte de ce village retiré de tous. Arrivé au pied des habitations qui s'étalent sur les hauteurs, nous nous stoppons. De là, la magie de la communication s'exécute et en peut de temps toute la montagne et même les maisons éloigné sont prévenu de notre venue. Le téléphone "arabe", fonctionne vraiment bien ici aussi. Il est amusant pour nous de voir les gens communiquer d'un flanc de montagne à un autre, et en quelques instant nous apercevons les personnes venir à nous, certains en marchant, d'autres en courant. Puis ça arrive de tout côtés, derrière nous des travailleurs quitte leur boulot pour venir à notre rencontre, devant d'autres personnes sortant de nul part dévalent la montagne. Maintenant de nombreuses familles nous ont rejoint, et chacune d'entre elle à évidemment la chance d'être comblé de chaleur, avec les couvertures.
Nous rejoingnons notre véhicule, entouré de plusieurs personnes qui attendaient notre retour pour avoir des couvertures. Le temps de la distribution, d'autres personnes se pointes venus d'ont ne sait où, qui auront également la chance de dormir au chaud ce soir.
Nous poursuivons notre route, où notre chauffeur à bien compris notre volonté de faire et s'arrête donc dans les endroits bien choisis, où il sait ou sont les familles qui ont le plus besoins, et se renseigne à chaque fois pour nous, sur le nombres de familles et d'enfants dans le besoins, se qui nous fallicite vraiment la tâche, car peut de gens parlent une autre langue que le Népalais. Tout au long de notre chemins, les arrêts se font de manière bref mais efficace, le long de la route les familles viennent directement à notre rencontre. Ici comme à chaque fois, le merci n'existe pas mais se fait par le sourire. Toutes les personnes à qui nous avons fait un dons, étaient très surpris de nous voir et le temps de comprendre se qu'il ce passe, que nous étions déjà répartis réalisé d'autres offrandes.
Voilà déjà plus 2 heures que nous parsemons notre chemins de couvertures, il est temps pour nous de prendre des forces. Nous passons devant un site touristique où l'attraction far est le saut à l'élastique, suspendu à une passerelle à plus de 160 mètres de hauteur, l'occasion pour nous d'y déjeuner, et de passer sur ce pont où la vu y est plutôt sympa..
La route à continuer pendant plus d'une heure sur la même volonté et les mêmes dons offerts kilomètre après kilomètre, trouvant toujours des gens de le besoin. Incroyable sincérité entre eux nous ont beaucoup surpris aussi, quand ont demandait au gens qui vivait là et quel situation avec cette famille, aucune ces approprié le titre pour récupérer le bien. Nous prennons conscience que ce n'est pas une couverture qui changera leurs quotidien, mais cela permettra de passé l'hiver au chaud et d'en sortir vivant, nous l'espérons de tout cœur.
Nous prenons en voiture avec nous, un gamin qui nous guide dans un hameau de misère, où derrière une maison en tôle se cache une maison en tôle, puis une autre, puis une autre.... Nous grimppons alors jusqu'en haut de ce regroupement de maisons, où famille après famille apparaissent entouré d'enfants. Nous étions charger de couvertures, mais il a fallu retourné plusieurs fois en chercher pour satisfaire tous le monde.
A l'approche de "Barabisé" (une grande ville), nous décidons de changer de cap et d'aller au dessus de Kadichaur, dans les hauteurs de là où nous construisons la maison, car nous pensons que les famille proche des villes ont plus facilement accès aux dons des associations déjà sur place (Médecins du monde notamment, bien présent sur le terrain : BRAVO à eux !!).
Nous recuperons en chemin, la commerçante qui nous a vendu les couvertures et qui connaît bien la région, nous exerçons donc 4 arrêts stratégiques dans différents hameaux ressemblants au dernière arrêt, où les dernières couvertures sont distribués aux différentes familles qui ont le plus souffert, âgés ou étant mal en poing.
Nous finissons notre distribution à la tombé de la nuit. Nous redessendons en ville afin de fêté la réussite de notre projet devant un apéro, avant de rentré à la maison pour se réchauffer devant un bon feux et finir doucement la soirée étant épuisé par les émotions de cette journée.
-11/12/2015-
"La vie de chantier"
Ont reprend vite nos habitudes au travail, et donc la routine du réveil devant le feux qui repart vite avec les cendres encore chaudes de la veille. Les ouvriers se réveille l'un après l'autre venant se réchauffer près du feux en attendant le thé qui ne tarde pas à arriver.
Côté chantier, la maison touche à ça fin, puisque nous réalisons en ce moment la fin du torchis sur les murs intérieur comme extérieur et le commencement du sol du grenier, également en torchis pour une isolation parfaite. Pendant ce temps une autre équipe fini de mettre en place la structure en bois et bambous, qui accueillera la toiture. Le travail se passe toujours dans la bonne humeur, mais ont ressent la fatigue envahir tous le monde (surtout les personnes ici depuis le début du chantier), ce sont les derniers jours de boulots et tous le monde pense depuis des jours que ce sera fini demain.… le moral en prend un coup, mais sera bientôt récompensé par la vision d'une belle maison fini, qui laissera l'esprit chacun libre d'aller et de rêvé à de nouveaux projets..
La routine est complète et même devant le feux le soir rien ne change, les nuits se ressemblent et l'envie d'autre chose grandit jusque dans nos lits, où nous pouvons imaginé qu'ailleurs c'est ici.
-12/12/2015-
"La dernière"
Ça y est pour nous c'est la dernière journée de travail, car d'une nous arrivons proche de la fin de notre voyage (J-7), et puis arrivant aussi sur la fin des travaux, nous sommes nombreux sur le chantier par rapport au travail qui se concentre maintenant sur un même endroit, la pose de la toiture. Ce matin nous sommes obligé de démonté la maison précaire faite uniquement de tôles formant un tunnel (même structure que les cabanes à moutons en France), où vive actuellement la famille qui accèdera prochainement à leur nouvelle maison, pour y récupérer les tôles qui serviront à la construction de la nouvelle toiture. Tous sur le toit, à mettre en place la première tôle, nous travaillons à mi-temps, il n'y a pas vraiment de travail pour tous le monde (nous sommes 14 volontaires). Puis au fur et à mesure que les tôles s'installe, d'autres finissent étalé la dernière couche de torchis dessous (sur le sol du grenier).
Midi, un dernier dal-baht, un dernier au-revoir, un dernier regard sur cette endroit où nous avons écoulé tant de sueurs et voilà il est temps pour nous de reprendre la route. Sur le chemin qui mène à la ville, nous passons devant un champ où un veille homme réalise la mise à niveau de son terrain à l'aide de 2 beaufs tirant un poid sur lequel l'homme se place comme il peut. L'occasion pour Reno d'essayer ce travail rude, qui l'épuise en un rien de temps.
Par la suite nous grimpons sur un bus au conducteur fous, qui nous ramène à Katmandou en prenant tous les risques qu'il croisent sur ça route. Nous laissant à l'entré de la ville, nous nous débroullons pour rentré et se retrouver à notre gest habituel, s'étant perdue dans les transports. La soirée qui suivit fût plutôt calme, dans un resto chic.
-13/12/2015-
"Shopping"
Étant dans le pays du tissu, faire les magasins est un passage obligatoire avant de partir. Aujourd'hui donc le plaisir est à sont comble pour les filles, tandis que les gars eux tournent en rond et désespère vite devant les vitrines qui s'étalent à perte de vue dans les ruelles qui forme des limbyrinthes, que l'ont appelle "Thamel".
Thamel, quartier touristique inondé par les hôtels, bars, restaurants et boutiques en tout genre. C'est le rendez-vous des voyageurs, à chaque retour de viré à travers le Népal ces ici que l'ont retrouvait les amis, connaissances où regard déjà vu. Une destination que l'ont demande plus en arrivant sur Katmandou, car bus, taxi ou tuk-tuk veulent sistemathiquement vous amenés au cœur de se quartier. Ici il y en n'a pour tous les goûts, tous les styles, du simple au chic en passant par l'excentrique. Les hôtels et restaurants souvent situé à l'étage, offrent parfois des ambiance baba-cool, où d'autres fois des petits jardins simpa où le calme au centre de la ville est toujours appréciable en pleine journée. Au rez de chaussé s'alignent les vitrines collé les unes au autres, du plus petit bijoux fabriqué sur place, aux sculptures sur bois grandeur nature, du shops de fringues d'été multicolores tissé dans les ateliers d'à côté, aux affaires d'hivers fabriqué en yak ou autres falcifications de grande marques pour des treks en altitude, tout y est. Mais pour trouver la perle à son goût, le choix est compliqué étant donné la diversité innombrable de chaque choses où vêtements qui se répète différemment boutiques après boutiques.
Mais quand ont ne recherche rien, il est bon de vagabonder dans ces ruelles colorés, au parfins changeant noyé dans le bruit de la foule et des quelques motos ou taxi qui arrivent à : pénétré dans ces rues. Notre regard n'est jamais au ralentit, tellement les couleurs et la vie active sont intense. Si ont pousse la balade plus loin, c'est tout un autre univers d'étalage qui s'offre à nos papilles, où légumes, épices, poteries et vêtements tradionnel honores les deventures des magasins pour le plaisirs des Népalais et étrangers réunis, et si l'ont n'est curieux, au travers de certains porche trône des magnifique temples loin des foules touristiques.
Bref ici c'est ailleurs, un centre ville de capitale comme beaucoup d'autres, où la nature n'existe quasiment plus et où l'argent disparaît de nos poches pour le bonheur des commerçants.
-14/12/2015-
"Bientôt la fin"
Ce matin nous atterisons rapidement dans les transports, pour rejoindre pour la dernière fois Balowapati, le village de notre première mission, où nous avons laissez énormément de souvenirs, que nous allons revivre brièvement aujourd'hui. Partis à 7 heure ce matin nous arrivons vers 13 heure au village, après avoir passé de bus en bus, et beaucoup marché entre cela, mais nous connaissons bien la route maintenant et donc ça nous embête plus de refaire une nouvelle fois ce parcourt, bien au contraire c'est une joie d'aller à la rencontre de nos connaissances.
Arriver là-bas, nous re-découvrons la maison que nous avons construite, dont la torchis est maintenant bien sec et donc las murs sont solide comme de la pierre. La grand-mère de Manissa est la aussi est nous accueille avec le sourire, dans la belle robe que nous lui avions offerte avant de partir. Nous rejoingnons ensuite le menuisier qui n'a pas fini le travail qu'ont lui avait demander de faire, étant blessé au bras pendant un moment, mais la c'est reparti il c'est remis au travail. Puis nous finissons par descendre au cœur du village pour voir notre petit couple de restaurateur adoré, qui aujourd'hui un beau restaurant quasiment fini. Nous passons la journée ici, à revoir toutes les personnes que l'ont connais, dont Bichnou (le fêtard par exelence), Ramlo (le père de Manissa) et bien d'autres, sans oublié Manissa que nous allons chercher a l'école pour passer la fin d'après-midi à joué avec elle et tous ces camardes.
En début de soirée arrive Ousuel (dont ont ne croyait plus en ça venue), qui débarque directement de Khadichaur, le second chantier dont la maison est maintenant fini !! Super nouvelle, il est venue avec 3 de ces amis, et nous festoyons toute la nuit ensembles entre le restaurant, le feux où à été cuisiner un dahl-bat esquit fait avec tellement d'amour et donc vraiment très très bon, et le nouveau resto. Nous passons la nuit à boire du rocksy, et danser sur des musiques Népalaises et Bretonnes, une dernière nuit extras où la joie est présente dans les cœurs de chacuns, émerveillé par tant de sourires sous les regards des millions d'étoiles qui brilles comme jamais. Une fête qui clos notre voyage, dont nous avons apporté ici un petit peut d'ailleurs et c'est maintenant d'ici qu'ont ramènera tant de choses ailleurs.
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