Népal

Distris riz

 

Namasté

Du 24 au 26 novembre : 3 jours

 

 

-24/11/2015-

"Les magasins"


Réveil de très bonheur ce matin car une grosse journée nous attend, nous avons décidé de mettre à bien un nouveau projet totalement autogéré par nous même, pendant les 2 à 3 jours suivants. Mais avant toutes choses, la préparation ce fait à Katmandou aux quatres coins du centre ville pour y fignolés les détails.
En fin de mâtiné nous prenons un bus pour "Boudha", et oui une fois de plus nous nous retrouvons dans ce lieu magique où vivent les Tibétains dans les monastères à pertes de vue, qui entourent leurs majestueuse Stupa (la plus grande du pays). Nous avons choisi cette destination, car à notre première venue nous avions aperçu un immense terrain vague où y est installé un bidonville de maisons de bâches, accueillant une partie des victimes des séismes. Et donc nous avions décidé de consacré une partie des dons pour leurs venir en aide, et ainsi réalisé une distribution de riz.
A notre arrivé nous cherchons une guest-house, comme dans nos habitudes, mais nous réalisons que étant proche de la Stupa, ils n'y a que des logements de luxe, étant donné que les hôtels cohabite avec les monastères. Nous arrivons tout de même à trouvé notre bonheur dans un lieu extraordinaire à 2 pas de la Stupa, et étant collé à un monastère, nous allons vivre au rithme des chants bouddhismes.
Une fois bien installé nous nous dirigeons dans une grande grande surface (8 étages, où trône un magasins à chaque étage, c'est la seul grand magasin de Katmandou, que nous ayons pus voir jusqu'à présent). Par chance cette énorme grande surface ce trouve sur le trottoir d'en face, du site où nous souhaitons faire la distribution de riz. Dans ce lieu, nous passons 3 - 4 heures à ce décidé quoi acheter, quels sera le plus necessaire et en même temps qui fait plaisir, nous nous casons la tête à faire et refaire des calculs interminables pour tomber juste dans nos frais, et surtout trouver des même aliments pour tous en suffisamment de quantités, un long travail qui nous prend l'après-midi, mais sans relâche et sans aucune aide du gérant de ce genre de magasin, qui ce fous totalement de la pauvretés de ces voisins (ici c'est ailleurs, les multinationales sont partout les même, tous des cons !!!).
Bref, après une interminable journée de magasin, nous nous sommes fixé à réalisé des petits colis de différentes choses : 1 kg 300 de riz / 500 g. de céréales / 1 savon / 1 bloc lessive / 10 sachet de thé et 1 paquet de biscuit.. Nous évaluons le bidonville à environ 300 logements (cabane faite en bâches), donc 300 paquets à réalisé. Le plus dure à trouvé dans tous fût les sac, étant donné que les sac poubelles n'existe quasiment pas, et que pour eux ils est absurde d'acheter des sac plastiques. Mais nous arrivons tous de même à trouver notre bonheur chez un commerçant de chaussures..
La fin de journée fût vite vue, après une journée à piétiné la fatigue se fait bien sentir.. Petit restaurant donc, dans un jardin au cœur de la Stupa pour reposé les esprits et refaire les calculs pour être bien sûr de notre coup, sans oublier aucuns détails.

 

 

-25/11/2015-

"La distribution"


Nous sortons de la guest-house à la première heure, pour arrivé au magasin à 8 heure pour l'ouverture et ainsi être tranquille pour faire nos achats. Nous remplisons jusqu'à 7 chariots remplit au maximun :


- RIZ = 400 kg.
- CÉRÉALES = 300 paquets de 500 g.
- SAVON = 300 blocs
- LESSIVE = 300 blocs
- THÉ = 3 000 sachets
- BISCUIT = 300 paquets
- SAC EN TISSU = 300 unités


..MERCI POUR VOS DONS..


Un vrai défilé de chariots ce dessine entre les rayons, jusqu'à la caisse où nous négocions un moment pour obtenir une toute petite ristourne au vu de notre grosse commande. Bon, passer cette étape, nous traversons la route avec tous nos chariots remplis, aidé par les employés du magasin qui au départ s'opposait totalement à prêté leurs chariots pour aller sur le site, mais la force appel la force, et bien décidé à mené ce projet à bout, ce ne sera sûrement pas un gérant bourgeois qui nous empêchera de faire cette belle action.
Arriver sur le campement des victimes des séismes, nous nous installons sous un petit abris de bambous. Là très vite des personnes et enfants, viennent nous aidés à déchargés le contenue des chariots. Pendant ce temps une foule de gens commence à arrivée et ce placé d'eux même en rang, formant déjà une queu impressionnante. Aidé par des personnes démunie, nous commençons la préparation et donc la distribution sans vraiment avoir eux le temps de ce préparer. La distribution se passe super bien, dans un bordel organisé où la foule de gens s'agrandit de minutes en minutes. Au départ nous partons confiant par rapport à notre stock impressonant, mais la distribution ce passe, les sacs par à une vitesse et la foule de monde ne désemplit pas.
Quelques minutes après notre commencement, la police arrive sur les lieux et nous regardent d'un mauvais œi, puis elle nous demande d'arrêter la distribution. Les habitants s'y oppose et ils sont tellement nombreux que la police ne dit rien et nous laisse reprendre notre projet. L'affluence des gens est impressionnante et ne désemplit toujours pas, ils y à parfois des faible tension sur des personnes qui essaie de passer deux fois à la distribution. Surveiller toujours par la police, nos cœurs sont remplis par l'émotion premièrement, puis la crainte que ça partent en émeute et enfin la peut des policiers qui ne nous ont pas déclenché un sourire depuis une heure. Un moment de vie de forte agitation, où nos pensées sont un peut perdue tout en essayant de donné du sourires à chaque personnes présente et de répondre à tous, hommes, femmes et surtout enfants intrigués par nos présence ici.
La distribution des colis arrivent à leurs fin, 300 paquets d'offrandes ont été distribué et malheureusement ils restent beaucoup de monde qui n'ont encore rien eu. Mais par chance, les femmes qui s'occupaient de remplir les sacs de riz ont du distribué moin de 1kg300 par personne comme prévue et donc il reste environ 5 sacs plein, soit 100 kgs de riz. N'ayant plus de sac pour la distribution, une autre organisation se mais en place et ces les habitants eux même qui viennent avec leurs sac, écharpes, vêtements où autres récupérer du riz à plein. Un autre moment de forte émotions où la réalité du besoin dépasse notre imagination prévu. Durant ce moment, nous pensons à Coluche qui lui à sont époque avait fait de très belle choses sans organisation et tout à fait réalisable..
Après une heure et demi de distribution non-stop et du coup avoir partagés jusqu'au dernier grain de riz, il reste peut de monde qui n'ont rien eu. La police viennent nous chercher et nous embarque directement, sous les huées des habitants. Les femmes nous prennent les mains de peur que nous finnisons en prison, une même dit qu'elle va appelé la télé pour criée au scandale. Nous sommes tous réunis dans la voiture de police, avec quelques femmes Népalaises et nous sommes emmenés au poste de police. Dirigé dans l'immense bureau du chef de la police, il nous accueille sur des grand canapés. Là, la pression se relâche et commence une morales d'une demi-heure sur les dangers que nous avons pris en réalisant cette action et que dans la lois il faut prévenir la police pour organisée ce genre d'évènement.
Ouufff, nous resortons libre et sans aucun problèmes. Du centre de police s'engage une grande balade jusqu'au bidonville, accompagné de femmes et enfants. Dans la rue tout le monde se retournent sur notre passage, s'interrogeant sur notre situation. A notre retour sur le site de distribution, une petite foule de gens nous acclament de cris et d'applaudissements, nous offrants à Reno et Max, des morceaux de tissu blanc qui nous place autour du coup, comme ils le fond quand ils honores les représentations de leurs dieux. Nous sommes tous aux bord des larmes tellement la situation est émouvante..
Par la suite nous sommes invités à boire le thé et jus de fruit dans une tente, puis dans une autre, puis dans une autre.. Les enfants nous suplis tous à de venir les rejoindre chez eux.. Après avoir vécu de moments heureux entouré d'enfants, dans plusieurs abris et aperçu leurs écoles au milieu du site, nous decidons de rentré pour ne pas s'éterniser chez eux et ainsi évité leurs invitations à manger, pour qu'ils puisque garder leurs cadeaux. En rejoignant la sortie du camp, nous rencontrons deux reporters de "Image Chanel", une chaîne de télévision Népalaise qui vient à notre rencontre pour nous interviewé sur notre présence ici. Un petit instant rigolo,  où nous devrions nous voir ce soir pendant les infos de 19 heures.
Après ça, nous quittons l'endroit suivit d'une 10zaine d'enfants et 3 femmes, qui nous accompagne jusqu'à la Stupa pour une balade amicale. Nous fesons ensemble un tour de Stupa, puis nous finissons dans un petit rade, pour offrir à manger à toutes ces petites bouches affamés. Nous nous quittons enfin devant un gros paquet de bonbons que les enfants se partage à pleine poigné.
Ça y est, le calme est revenu pour nous, nous laissant dans un aspect curieu de l'expérience humaine que nous venons de vivre. Une journée gravé à jamais tant pour l'émotion que pour la réussite d'un rêve établit.. Nous nous retrouvons (seuls) autour de la Stupa, au milieu de bouddhistes à se raconter mutuellement notre journée et notre si beau travail accomplit. Pour remettre les pieds sur terre, nous epuisons notre temps autour de Stupa à visiter les temples d'une beauté indescriptible et le calme est maître et donc petit à petit, nous remet à notre place indifférent de tous..
Le soir arrivant, nous nous retrouvons sur le toit de la guest-house pour admiré de haut la Stupa qui se plonge doucement dans la nuit éclairé par les différentes boutiques qui l'entourent, ce lieu devient alors encore plus magique ce qui nous pousse à y retourner pour terminé la soirée. Nous dînons dans un restaurant avec télévision pour y vérifier notre présence au journal du soir. Impascient de nous voir à l'image, nous restons figés devant l'écran même durant les publicité, quand vient alors le reportage dédié au camps des démunies de maisons, et là..... rien, ils nous au coupé au montage...snif !! Envolé notre petite heure de gloire..

 

 

-26/11/2015-

"La retrouvailles"


Ce matin c'est grâce mât jusqu'à 8 heure.. Good !! Petit réveil en douceur avec les chants des jeunes bouddhistes qui s'élèvent de plus en plus.. Notre guest-house collé au monastère, survole leur cour et donc leurs dortoirs autour ce qui nous donne vraiment l'impression de vivre parmis eux. Nous échangeons parfois un simple sourire, d'autre fois un grand salut.
Nous avons prévu de retourner sur Katmandou aujourd'hui et en chemin nous passons devant le bidonville où nous retrouvons par assar "Kalpana", une femme qui nous a aidé dès le début de la distribution et nous a suivit toute la journée d'hier. Elle part en ville et décide de nous accompagné pour rejoindre Katmandou à pied. Quel plaisir de ce retrouvé et de pouvoir repasser un long moment en ça compagnie..
Arriver dans le centre, nous passons l'après-midi de rendez-vous en rendez-vous, pour organisé la suite de notre programme, qui seront : Les vacances !!!
Le soir donc nous commençons à en profiter en traînant dans les bars avant de rejoindre le "Tibet peace", notre guest-house habituel quand nous venons dormir sur Katmandou.

 

 

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